[Fiction] Mourir un jour, Rennaître l'autre

Comme diraient mes amies
Je vais te pondre ça




Chapitre 64 :

Ce trou noir
L’obscurité
Cet espace si sombre
Cette nuit
Sans même
La lueur de la lune
Je n’avais pas conscience du temps
Qui passait
De ce qui pouvait être dit
Etre fait dans ce monde
Qui me paraissait si loin
Alors que j’étais là
Dans cet endroit
Dont je ne définissais pas l’espace
Car tout cela me paraissait immense
Et interminable
Je me morfondais
Dans ce néant sans fin
Qui m’entourait
Quand tout à coup
Je sentis mon corps se délaisser
Vers l’arrière
L’obscurité s’estompait
Sous la lueur
D’une source de lumière inconnue
Qui me précédais
La vitesse
De mon déplacement s’accélérait
Quand soudain
J’aperçu Gustav
Criant son nom
Pour qu’il me voit
Mais que faisait-il là ?
Rêvais-je ?
Où était-ce bien
Ce à quoi je pensais ?
Je ne l’espérai pas
Ça y était
Il m’avait remarqué
Il me sourit
Mais derrière ce sourire
Son visage affichait de l’inquiétude
Je ne voulais plus partir
Je voulais rester avec lui
Mais quand il s’aperçut
Que je sortais de ce néant
Il me fit un signe de main
Sans doute pour me dire
De ne pas résister
Alors j’acceptai à contre cœur
La peur au ventre
Que lui
Aucune source
Ne vienne le chercher
Gustav s’effaça
Alors je pris panique
Lui il n’a pas eu de lueur
De lumière
Je fermai les yeux
Après tout
Ce ne pourrait être qu’un rêve
Un simple rêve.

Oula, ca devient compliqué tout ça lol!!

j'attend avec impatience la suite!!

Chapitre 65 :

Des voix me parvenaient.

Tom : Tu crois qu’elle mangera son pain ?
Bill : Pourquoi, tu le veux ?
Tom : T’as pas entendu mon estomac crier famine ! Ma parole t’es sourd !
Bill : Fais comme tu veux, je ne pense pas qu’elle aura la tête à manger, mais plus à avoir des nouvelles de Gus’.
Tom : Me dire, oui, aurait été plu simple.

J’entendis le pain se déchirer
S’émietter.

Je m’étais peut-être trompée
Au sujet de Bill
Car il avait raison
Mon estomac serait passé en second
Voir en dernier lieu
Et Gustav en premier
Je m’arrêtais là
Sinon j’allais regretter
Tout ce que j’ai pu penser
Alors qu’il y avait des paroles censées
Je me décidai donc
D’enfin ouvrir les yeux
Tom était appuyé contre le mur
Devant mon lit
A dévorer le morceau de pain.
Bill, lui
Etait assis sur une chaise
A première vue
Totalement inconfortable
Me tenant la main
Ce que j’avais à peine sentit
Sûrement par habitude
Il me fixait
Alors que moi je l’évitai
Moi, j’étais allongée
Encore dans un de ces lits d’hôpitaux
Dans leur draps fades et rêches
Le soulèvement de mes paupières
Illuminai le visage de Bill
Jusqu’ici peiné.

Tom : Comment va la « belle » au bois dormants ?
Moi : Un peu chamboulée mais sa va. Et Gustav ?
Tom : Euh…

Il regardait Bill
Hésitant.

Bill : Quand … quand il a su que … que tu avais plongé lui … lui aussi.
Moi : Attend tu veux dire qu’à notre arrivée, il n’avait rien ?!
Tom : Ils l’avaient juste changé de chambre. Tu t’es fait des frayeurs pour rien Aurore .

Quand Simone fit irruption
Dans la pièce
C’était fou ce qu’elle avait pu
Me manquer celle là.
Bien sûr que non
Evidement
Elle me regardait à peine.

Simone : Les garçons, vous avez des choses à faire,attendez moi à la voiture, après être passés voir Annie.
Bill : Mais maman … !
Simone : S’il vous plaît !

Elle avait l’air
Quelque peu agacée
Les garçons ne discutèrent pas plus
Qu’est-ce que les futures mariées
Peuvent être sur les nerfs
Affolant .

Moi : Je ne suis pas d’humeur à être testée.
Simone : Excuse moi pour ça tes antécédents m’inquiétaient beaucoup.

.Mes pensées. Je ne suis pas une détenue ! Tant que vous y êtres et mon casier judiciaire comment vous le trouvez !? Hem.

Simone : Mais l’amour est plus fort, j’ai vu à quel point Bill tiens à toi. Il n’a pas quitté ta chambre ou rarement pour aller voir Gustav, je le forçai à manger.

.Mes pensées. Il aimait sans doute la chaise. - -‘ ça ne me réussit pas les trous noirs.

Oh mon dieu
Je ne pensais pas m’être trompée
Sur l’amour de Bill
Qu’elle idiote je fais
Elle me tendit la main.

Simone : On fait la paix, on oublie ?

J’hésitai un peu
Mais au fond
Pourquoi refuser une main tendue ?
Je l’empoignai.

Moi : Oui.
Simone : Très bien suit moi.

Je me levai
On ne m’avait pas mis
Un de leur affreuse blouse
J’avais gardé mes vêtements
J’enfilai mes chaussures
Puis elle m’entraîna
Jusqu’à une chambre
Je sautai sur le lit
A la vue de Gustav réveillé
Le sourire aux lèvres
On se serra tellement fort
Que l’on aurait pu s’étouffer
Mutuellement
Mais qu’importe
Annie se joint à nous
Les larmes aux yeux
Elle m’embrassa
Mon visage entre ses mains.

Annie : Je vous aime mes enfants, fort, très fort, alors s’il vous plaît, cessez de m’en faire voir de toutes les couleurs.

On rie de bon cœur
Puis je m’aperçu
Que Simone était déjà repartie
Elle avait sans doute
Un bon fond cette bonne femme
Pas au premier abord
C’était sûr
Oh et puis zut
C’était ma future belle mère
Il fallait bien l’accepter un jour
Enfin j’espérais que …

.Mes pensées. Tais toi Coralie et profite !

Je ne me fis pas prier
Et je profitai un peu plus
Chaque jour qui passait.

_______________________________________________________

Voilà
Je pense
Que ce sera tout
Pour aujourd'hui
Merci de me lire
'Zouxxx

WelcomE popo69
Merci beaucoup pour ton comm

Chapitre 66 :

Un soir
Alors que nos états
S’étaient très bien rétablis
Je devais le dire à Bill,
« J’ai besoin d’air »
Non, trop directe
Je ne voulais pas le blesser
Même si le fait de vouloir
« Faire une pause »
Allait déjà lui faire de la peine
Oui, c’était ça !
« Bill, j’ai besoin de faire une pause »
J’étais prête à partir
(Nous allions manger
Chez la famille Kaulitz.)
Devant mon miroir
A m’entraîner
J’avais déjà pris mes distances
Ces derniers temps
Je profitai de Gustav
J’étais aux petits soins
Avec mon « Gustii » ^^
Et ça Bill l’avait compris
Mais c’était à peine si je le touchais
Une fois il m’a regardé dans les yeux
Et m’a demandé :
« Tu m’aimes ? »
Je ne lui ai pas répondu
Je l’ai embrassé.

Chaque soir
Avant de dormir
Ou au petit matin
Avant de me lever
Je posais cette question
« Est-ce que je l’aime ? »
Si seulement je le savais.

Mais ce soir
Je serais franche
Je lui parlerais
J’aurais dû le faire
Il y a déjà plusieurs jours
Mais j’étais trop faible psychologiquement
En plus je trouvais toujours une excuse
Quelle lâche je fais
Bon, reprenons
« Bill, tu … »
Gustav venait de s’engouffrer dans ma chambre
Il me regardait d’un drôle d’air.

Moi : Quoi !?
Gustav : Mm m, rassurant.
Moi : Hein ?
Gustav : Tu parles toute seule, ma Coco ‘faut te faire soigner.
Moi : Ah, ah très drôle.
Gustav : ^^ Aller viens, on s’en va.
Moi : Ouais deux secondes, je vous rejoins en bas.
Gustav : OK.

Il descendit
J’observais se reflet dans le miroir
Qui n’était autre que moi.

.Mes pensées. Je peux le faire. Je dois le faire. Je vais y arriver.

Respirer
C’était la clé
Ne pas trop s’entraîner
Les phrases préconçues
Ne sont jamais très naturelles
Je ferais ça au feeling
Un peu comme ma vie en fait…

Annie : Coralie ! C’est quand tu veux !
Moi : J’arrive !

Je descendis
Puis on monta en voiture.

Teiya a écrit:

A pour toutes celles qui lise un simple mec... mon jumeaux ?

3va me l'a envoyé donc je devrais mettre la site aujourd'hui

Voila ^^

ok teiya jai hate que tu la mette


vite la suite please!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je ne comprend plus coralie la !!!! lol

Teiya ~> Ouais !

Chapitre 67 :

No panic
No stress
Zen
Peace
Nous étions arrivés
Chaleureusement accueillis
Par un Tom
Qui n’aurait pas bougé son c*l
S’il avait choisi
De nous ouvrir ou pas
Le repas passa dans une bonne ambiance
Le mariage ne tarderait plus
A arriver
On les sentait excité.
Quand on eut fini de manger
Et que les parents buvaient leurs cafés
On monta dans la chambre de Tom
Regarder un DVD.

Moi : Euh … Bill, je peux te parler … en privé ?
Bill : Bien sûr.
Tom : En vous attendant on fait une partie de PlayStation, t’es partant Gus’ ?
Gustav : Ouais !

Il m’emmena dans sa chambre.

.Mes pensées. Génial, comme si ce n’était pas assez dur comme ça !

Moi : Voilà, on y est …

On s’installait sur son lit.

Moi : … par où commencer … tu as du remarquer que … j’étais assez distance ces temps ci, non ?
Bill : Oui ça tombe bien que tu en parles … parce que moi aussi … j’aurais quelque chose à te dire … à ce sujet. Mais vas-y continue.
Moi : Non, en fait, vas y toi, commence.
Bill : OK … notre relation n’est plus comme avant … alors on devrait … … … rompre.
Moi : ROMPRE !?
Bill : Ce n’est pas ce à quoi tu pensais ?
Moi : Non, bien sûr que non ! Je voulais juste … faire une pause … pour retrouver la passion du départ après un temps ! Mais si c’est ce que tu veux je ne peux pas m’y opposer, je l’accepterais.
Bill : … … … … … … … … … … c’est ce que je veux.

Il ne m’avait même pas regardé
Moi qui pensais que je lui ferais du mal
Pensez vous,
J’avoue j’éprouvais de la haine
C’est sans doute mieux ainsi.
On retourna avec les autres
Sans un mot
Sans même un regard
Et ce fut tel que
Tout le restant de la soirée
Au moment de partir
Je lui fis la bise
Amèrement
Tous nous regardaient bizarrement.

Annie : Vous avez rompu ?

J’hochai la tête.

Simone : Oh, désolé alors.

Elle posa une main sur l’épaule de son fils
Elle le regardait avec compassion
Comme si c’était lui le martyre
Je vais répliquer.

Moi : Oh ne vous en faîtes pas pour lui, vu qu’Il a rompu.

Ce fut autour d’Annie
De mettre sa main sur mon épaule
C’est ici que commença notre mauvais jeu.

Bill : Mais ne vous en faîtes pas non plus pour elle, vu qu’Elle a accepté.
Moi : Han ! C’est tout ce que tu trouves à dire ?
Tom : Je déclare la guerre ouverte !
Simone : Tom !

Tom : Le score est actuellement de deux contre un pour Coralie.

Il ignora tous les rappels à l’ordre
De sa mère
Ses commentaires me faisaient sourire
Avec un regard l’emportant sur Bill.

Annie : Bon on va y aller, avant qu’ils n’en viennent aux mains.
Moi : Mais non, Bill ne voudrais pas écailler son vernis ou pire encore, se casser un ongle !

Mon ton avait été assez insultant
Le pauvre
Me regardait avec noirceur.

Bill : C’est surtout que je ne voudrais pas me salir les mains !
Tom : Ouh… trois contre deux.

Gustav m’arracha le bras
Et m’entraîna hors de la maison
Pour me forcer à rentrer en voiture
Alors que j’allais récidiver.
Je lançais un dernier regard à Bill.

______________________

.Ses pensées.

Et dire que j’ai aimé cette g*rce.

________________________

Je détournai les yeux
Fixant le tapis de sol
Ses mots passaient
Et repassaient dans ma tête
Là, il m’avait blessé.

Après m’être glissée sous la couette
La tension retomba
Et je fondis en larmes
Je le détestais
Je ferais tout pour lui pourrir la vie
Je ne cesserais de me venger
Jamais il ne m’oubliera.

!!!!

ca merite une suite tout ca !!!!

yumi13 ~> Comment ton comm il m'a trop fait rire
cristou66 ~> Lol
popo69 ~> Tout à fait d'accord Voilà


Chapitre 68 :

Le lendemain matin
Alors que je branchais le sèche cheveux
Gustav se mit
Dans l’embrasure de la porte.

Gustav : Tu l’aimes encore.
Moi : Pardon !? Je ne crois pas non.

J’étais limite choquée
Par ce qu’il venait de dire.

Gustav : Je t’ai entendu pleurer hier soir, alors ne dis pas le contraire.

Je fixais les boutons
Je m’étais pourtant cru discrète
Je fis comme si je n’avais rien entendu
Et allumai la machine
L’ignorant.
Je le voyais qui essayait de me parler
Mais le bruit couvrait sa voix
Jusqu’à ce qu’il débranche l’appareil.

Moi : Tu ne vois pas que je suis occupée !
Gustav : Je sais que tu n’es pas une fille insensible, tu es même une hypersensible.
Moi : Je sais que tu crois que je vais mal, mais je vais très bien.
Gustav : Arrête de te voiler la face…
Moi : Et toi arrête de me dire ce que je dois faire !!!

Je lui arrachai le fil des mains
Et remis en marche le sèche cheveux
D’une main tremblante
Il n’en dit pas plus
Et s’en alla.

non !!!! cest trop court !!!!!!!

vite suite parce que la ca part tro en cacahuete !!!!!!

Chapitre 69 :

Le grand jour approchait
Deux jours avant celui-ci
Etait donné une réception
En l’honneur des futurs mariés
Je m’ennuyais à mourir
Chose que je déteste
Quand Simone annonça
Qu’il fallait se mettre en couple
Pour le bal.
Les adultes, eux,
C’était facile
Mais moi,
Entourée des quatre garçons
J’émis un grand soupire
Me retournant vers Gustav.

Moi : On fait ensemble ?
Gustav : Euh … ben en fait …
Tom : T’as pas rencontré une fille l’autre soir ?
Gustav : … Si et … je lui ai demandé de m’accompagner.
Moi : OK … toi Tom je te pose pas la question, tu en trouvera une en temps voulu…
Tom : Tout à fait .

A côté de lui
Se trouvait Bill.

Moi : Toi, j’y penses même pas … mes pauvres pieds ne le supporteraient pas.
Tom : Oh et c’est reparti …

A force
Nos rembarquements
L’ennuyait.

Bill : Moi ce sont mes yeux qui ne le supporteraient pas.

Je me retournai vers Georg
Mon dernier espoir
Il leva les mains en l’air.

Georg : Désolé, je suis casé.
Moi : Bon tant pis, j’irais avec Chris.
Gustav : C’est qui celui là ?
Moi : Un gars de ma classe, j’ai gardé son numéro depuis le temps.
Bill : Tu n’es pas censée amener n’importe qui à ce bal.
Moi : Dis ça à ton frère, et puis comme si ça pouvait te faire quelque chose avec qui je vienne.
Bill : Je pense plus à ma mère qu’à toi.
Moi : Genre. Oh mais question et toi Bill, qui t’accompagnera ?

.Mes pensées. Juste histoire que je fixe un nom sur mon prochain souffre douleur.

Bill : J’ai le choix entre Audrey, Cindy, Julia, Florine, Julie, Vanessa, Victoria …
Moi : …
Bill : Quoi ! Tu m’as bien demandé avec qui j’allais venir ?
Moi : Oui mais à la réflexion je m’en fou. ^^

Simone arriva avec sa liste et un crayon
Affichant un sourire radieux
Auquel je ne pris la peine de répondre.

Simone : Alors !?

Elle forçait le regard
Alternant avec insistance
Entre moi et Bill.

___________________

.Ses pensées.

Dîtes moi qu’ils se sont mis ensemble. Ils s’aiment encore j’en suis sûre.

___________________

Moi : On amène tous quelqu’un de l’extérieur.
Simone : Ah…

La précédente lueur d’espoir
Dans ses yeux
C’était dissipé
Pour laisser place
A une autre déçue.

.Mes pensées. Bravo Coralie, tu viens de lui casser son rêve.

Mais ça lui passera.
Cette envie perpétuelle
De nous recaser ensemble
Ils s’y sont tous mis
Ça m’excède.

suite suite suite please !!!!

je ne la comprend plus !!! pourquoi ils se taillent sens arret ??

en tout cas bravo !!! 69 eme chapitre !!!! et toujours aussi bien !!!

MICI ^^
L'avenir
Nous le dira
xD

Chapitre 7o :

Les deux jours restant passèrent
Chris accepta mon invitation
J’étais dans ma chambre
Devant mon miroir
A mettre mes boucles d’oreilles
Portant une robe blanche
Au décolleté carré
Aux manches courtes
Ceinturé aux hanches
Un peu bouffante
M’arrivant aux genoux.
J’avais pour une fois
Détaché mes cheveux
Après les avoir légèrement ondulé
Au fer à friser.
Puis maquillé mes yeux
Comme à mon habitude
De mascara
Puis de crayon khôl noir
Rajoutant un léger coup
De fard à paupières blanc
Je me souvenais
De tout les soirs
Où ce maquillage a pu couler
Emporté par mes larmes
Ces larmes que je niais
Chaque fois qu’on me disait
Qu’elles avaient existé.
Jeune fille d’apparence forte
Mais avec un cœur hypersensible
C’était tout moi …
DinG DonG
Ce devait être Chris.

Annie : Coralie ! C’est pour toi !
Moi : Ouais deux secondes !

J’enfilai mes ballerines noires
Sautant à cloche pieds
Jusqu’à un meuble
Sur lequel était
Ma boîte à bijoux
Que j’ouvris
Prenant de gros bracelet
Un noir et un blanc
Les enfilant sur un même poignet
Mon regard s’attarda longuement
Sur un bijou
Que je n’avais pas porté
De ce qui me parut une éternité.
Depuis que la « guerre »
Avait commencé.
Je l’aimais
J’aurais tellement voulu
Le reporter de nouveau
Mais le faire
Serait comme confirmer les
« Elle l’aime encore »
Ce que je ne pouvais me permettre
Je le caressais lentement du bout des doigts
Me remémorant le jour où
Je l’ai découvert sous mon oreiller
Je l’ai aimé au premier regard
Puis tant de bons moments
Se sont passés
Alors qu’il était accroché à ma main
Surtout la fois où …

… : Hallo !

Je sursautai
M’empressant de claquer le couvercle
Me retournant
Comme si de rien n’était vers Chris
Qui s’était introduit dans la pièce.

Moi : Hallo.
Chris : La porte était ouverte, alors je me suis permis…
Moi : Pas de problème.

On se regardait gentiment
De haut en bas.
Il n’était pas si mal
Avec ses cheveux châtain clair
Sa coupe « OuT Of BeD »
Ses yeux verts
Habillé classe mais décontracté
Haut blanc/ jean/ converses noires.
J’ai voulu changer de style
Bien loin de celui de Bill
Et Chris était le candidat parfait
En plus on rigolait bien
Et il était très sympathique
Mais le problème
C’est que je croyais
Que je lui plaisais
Enfin un problème
Oui et non
Je pensais que notre amitié
Serait bien plus appréciée
Si elle n’était pas basée
Sur ma vengeance personnelle

Chris : T es très jolie.
Moi : Tu n’es pas mal non plus, dans ton genre.
Chris : Merci, on descend ?
Moi : Oui.

Je pris mon sac à main noir
Et on rejoignit les autres
Gustav et Annie dans leur voiture
Et moi dans celle de Chris
J’ai sûrement oublié de le mentionner
Chris a 19ans,
J’ai dit « candidat parfait » ?
Oui, enfin presque.

une suite please !!!!!

tristounet le moment du fameux collier !!!

Chapitre 71 :

On arriva à la mairie
Tout le monde était sur son trente et un
Tom avait gardé les bases de son look
En y ajoutant des touches classes
Quelques choses me disaient
Qu’il ne s’était pas habillé tout seul
Il vint vers nous quatre.

Tom : Ouah … ah.

Son regard était resté bloqué
Sur moi et Chris
Je criai pour le décoincer.

Moi : TOM !!! Dis tu t’es habillé tout seul ?!
Tom : Oui comme toujours depuis mes cinq ans.
Moi : --‘ pas ça, les touches classes.
Tom : Mais je suis toujours très classe …
Moi : Hem.
Tom : Oh ça va, hein, on ne peut pas dire que tu sois mieux après avoir pleuré le matin quand tu te lèves …
Gustav : Tom !

Ne pas montrer
Qu’il m’a touché
Ne pas laisser paraître
Ma sensibilité sur mon visage
Ou dans … … … mes yeux.
Je venais d’apercevoir Bill
Accompagnée d’une jeune fille
Pas plus âgé que moi
A première vue.
Je mettais préparée
A cette vision
Mainte et mainte fois
Mais mon cœur eut
Tout de même, mal.
Mais je savais déjà
Comment j’allais agir
En vers cette fille
Je n’allais pas la blesser,
L’humilier, la mépriser
Ou autres
Comme toute autre fille
L’aurait fait
J’avais une bien meilleure idée
Qui par la même occasion
Enragerait Bill.
Cette fin d’après midi
Cette soirée et cette nuit
S’annonçaient passionnantes
Et mouvementées.
Niah, ah, ah …
Oups
Je venais de rigoler toute seule
Chris me regardait en coin.

Moi : Je … je pensais à un truc drôle.
Chris : Je vois …

Il me look ait avec de grands yeux
Auxquels je ne pus renoncer à rire
Il se joint à moi.

Nous : Bonjour.
Eux : Salut.
Annie : Je vais rejoindre la future mariée.
Moi : OK.
Tom : Moi et Gus’, on va chercher nos cavalières :zz : et Georg.
Gustav : Ouais .

.Mes pensées. Espèce de lâcheurs. Mais je m’en sortirais sans eux.

Bill : Chris je suppose.
Chris : Oui et Bill ?
Bill : Ouais.

Bill regardait Chris
Plutôt froidement
Je me tournai vers Elle
Un grand sourire aux lèvres
Sans les décoller
L’air d’une idiote quoi
Ce qu’elle me rendit.
Elle portait une robe blanche à bretelle
Décolleté plongeant en triangles
Ceinturée sous la poitrine
Puis évasée
Aussi longue que la mienne.

Moi : Alors Audrey, Cindy, Julia, Florine, Julie, Vanessa, ou Victoria ?

J’avais dit doucement
Bon je vais me rattraper
Elle me regardait incompréhensive
Puis se tournant vers Bill
L’interrogeant du regard
Lui qui me regardait en serrant les dents.

_________________

.Pensées de Bill.

Je te déteste, Coralie, je te hais.
__________________

.Mes pansées. Moi aussi je t’aime Bill.

Moi : Moi c’est Coralie !

Jolie esquive.

File : Et moi Gladys.
Moi : Chris on entre ?
Chris : je te suis.
Moi : On se revoit tout à l’heure.
Gladys : OK.

Mon sourire forcé
Se dissipa peu à peu
Ma pensée était pleine d’ironie
Elle n’était faite que de ça.

->SoFaNaTiC'SmAcKy< a écrit:

popo69 a écrit:

une suite please !!!!!

tristounet le moment du fameux collier !!!

c'était un bracelet
lol
c'est pas grave

a oui dsl jai mal lu !!!

suite please !!!