[Fiction] Mourir un jour, Rennaître l'autre

Teiya a écrit:

je suis contente j'ai 69 messages -_^ ptite dédi a 3va xD

Hum steuplé !
Faut pas dire sa en public c'est pas bien du tout.
D'abbord qui à parlé de 69 ?
Pas moi . . .
Fin si j'me rappelle bien.

Johannes a écrit:

je passe l'annonce à eva, je lui est envoyé un mp avant-hier et toujours pas de réponse

Euh pour sa il faudrait déjà que je le reçoive ce mp.

pourtant je te l'ai envoyé dimanche, je vais te le renvoyer.

je veux comme même la suite

Pour faire plaisir

Chapitre 38 :

Quand le soir arriva
Après le passage des parents de Georg
Lui Tom et Gustav
Rentrèrent à leur appartement
Ils tombaient de sommeil.

Gustav : Oh j’oubliais si jamais il vous prend l’envie de … enfin vous voyez.
Bill : Oui.
Gustav : Bill protège toi.
Moi: # Protège toiiii bien avant qu’il ne soit trop taaaaaard #……… Pardon
Bill : Oui Papaaa !
Gustav : Même pas drôle. Evitez mon ancienne chambre quand même.
Moi : Ah même pas drôle.

Et ils s’en allèrent
Bill s’écroula sur le canapé.

Bill : Ah … enfin seuls.
Moi : Ouais.

Je m’assis près de lui
Posant ma tête et une main
Sur son torse
Lui passa son bras derrière moi
Le posant sur mon bras
Je n’avais pas beaucoup dormi la nuit dernière
Devant la télé, mes paupières lourdes
Se fermèrent
Laissant place à l’obscurité de mon sommeil.

A mon réveil
Bill n’avait pas bougé.

Moi : Mm j’ai dormi combien de temps ?

J’avais la voix pâteuse.

Bill : Je dirais bien deux heurs. Sa va je suis confortable ? ^^
Moi : Plutôt oui. Tu comptes regarder la télé encore longtemps ?
Bill : Euh …

D’une main
Je pris son visage
Et déposai un doux baiser sur ses lèvres.

Moi : Tu ne préfères pas ça ?
Bill : Mm je ne sais pas. ^^
Moi : Hey !
Bill : Mais si bien sûr.

On s’embrassa à nouveau
Sans me décoller de lui
Je me mise à califourchon
Alors que ses mains
Parcouraient mon dos sous mon tee-shirt
Je fis de même
En lui déposant mes lèvres dans le cou
Ses mains descendirent
Le long de mes mains
Puis sur mes hanches
Passant sur mes fesses
Puis finirent sur mes cuisses
« Accroche toi » me dit-il
Dans un murmure à mon oreille
Il se lava
Je passai alors mes jambes dans son dos
M’aggrippant
Tout en continuant de faire mon ter le plaisir
Bill en avait du mal à monter les marches
Ne serait-ce que marcher lui était difficile.

Moi : Je suis si lourde que ça ? =D
Bill : ^^ Non c’et juste que je ne voudrais pas nous faire tomber.
Moi : Effectivement si tu pouvais éviter tu serais gentille.

Nous sommes à présent
Au milieu du couloir
Bill s’est arrêté
Plongeant son regard dans le mien
Soudainement je l’embrasse avec passion
Je sens ses lèvres sourire sous les miennes
Puis il reprit la direction de ma chambre
Poussa la porte d’une main
M’allongea sur le lit double
Et de mes lèvres
Ses baisers descendirent dans ma nuque
Pour se prolonger encore
Sur le haut de ma poitrine
Alors que ses mains soulevaient mon tee-shirt
Puis le déposant sur mes seins
Il les passa dans mon dos
Finissant par poser sa bouche
Sous ma poitrine
Descendant petit à petit
Je passai mes mains dans ses cheveux
Mais sur un coup de tête
Je roulai sur le côté
Et allumai la lampe de chevet
Ensuite je rabaissai mon tee-shirt
Bill avait l’air déçu.

MDR
Eh ouais!
Dans ce chapitre
J'ai bien tripé sur les répliques de Bill

Chapitre 39 :

Moi : Désolé mais … il faut que … je te dises quelque chose … d’important … avant d’aller plus loin … tu risquerais de ne plus avoir envie de moi … mais … tant pis, je ne peux plus te le cacher…
Bill : Tu ne t’es pas épilé, si ce n’est que ça …
Moi : Nan ! Je ne suis pas un Yéti des neiges ! C’est … plus sérieux.
Bill : Han ! Je sais !
Moi : C’est vrai ?
Bill : T’es un transsexuel ! Je me disais aussi que t’avais bien quelque chose de masculin.
Moi : Bill ! Saloperie va !

Je lui collai une claque à l’épaule
Alors qu’il rigolait.

Bill : Alors ça ne doit pas être si grave.
Moi : Bon … tais toi et laisse moi parler … au lieu de dire des conneries, OK ?
Bill : OK.
Moi : Voilà … j’ai tué des gens … enfin je ne sais pas top si c’était moi ou … que l’on s’est emparé de mon esprit.

Je lui indiquai les moindres détails
Il ne disait pas un mot
Plus aucun son ne sortait de sa bouche.
Il paraissait comme figer sur place.

Moi : Pouh ça fait du bien de le dire à quelqu’un … euh Bill si tu ne bouges pas je vais devoir employer la manière forte.

Là je sentais qu’il le faisait exprès
Alors je le plaquai en arrière
Sur le matelas
M’étalant de tout mon poids sur lui
La raison de sa réaction m’échappa
Il m’embrassait
Puis il me regarda droit dans les yeux.

Bill : Je t’aime quand même.

J’aurais bien aimé
Qu’il réagisse comme ça
Mais ce ne fut pas le cas.

Reprenons,
Je lui avais indiqué les moindres détails
J’étais anxieuse
De chaque mots
Qu’il pourrait prononcer.

Bill : Tu veux dire que maintenant au lieu de lire dans les pensées … tu peux prendre le contrôle de l’esprit des gens en dormant, si j’ai bien suivi ?
Moi : Oui.
Bill : Mais c’est tout de même un état d’inconscience ?
Moi : Etant donné que je le fais pendant mon sommeil, je crois oui.
Bill : Est-ce que tu l’as déjà utilisé sur l’un d’entre nous ?
Moi : Euh … oui.

Il avait l’air en état de choc.

Bill : Quand ça ?
Moi : À l’aéroport, quand vous alliez embarquer Tom t’as pris par la main et t’a demandé pardon … c’était moi.
Bill : Comment tu peux savoir ça !? Il ne te l’a pas dit et je ne l’ai moi-même dit à personne. … donc, c’est vrai.
Moi : Tu dois me prendre pour une folle.

Je ne pouvais croiser son regard
J’avais trop peur.

Bill : Tu m’excuseras, mais pas folle, spéciale.

J’émis un petit rire nerveux.

Moi : C’est déjà mieux que bizarre, folle à lier, déjantée, carrément dingo
… ou autres.
Bill : Ok, euh je vais redescendre … et avaler ce que tu viens de me dire, je dormirais dans le canapé.

Il se leva
Et marcha en direction
De la porte
Puis se retourna.

Bill : Au fait, c’est effectivement plus sérieux que je ne l’imaginais et ce n’est pas que je n’ai plus envie de toi, je n’ai juste plus envie de la faire.
Sinon comment tu prends commande que de l’esprit ou … de tout le corps ?
Moi : Que de l’esprit, encore heureux.
Bill : Ouais, tant mieux pour toi.
Moi : Hum.

On eut un petit rire
En pensant à Tom
Et à ce que j’aurais pu découvrir.
Et il descendit au salon
Devant la télé
Je le regardai du haut des escaliers
Dissimulée derrière la rampe
Je me disais
Qu’il allait bien finir par remonter
Mais je me désistai
Je me préparai et allai me coucher.

Chapitre 4o :

Au bout d’une heure
J’entendis des pas
Croyant d’abord
A des hallucinations
Mais ce n’était pas mon imagination
Quand je me retournai vers la porte
Et vis Bill entrer
Qui venait de frapper.

Bill : Tu ne dors pas ?
Moi : Non.
Bill : Moi non plus.

Un ange passa.

Bill : J’ai repensé à ce que tu m’a dit et … peu importe que tu sois spéciale ou autres eu moins tu n’es pas ordinaire ou banale, tu ne joue pas un jeu, tu es toi, et c’est ce qui me plaît chez toi. C’est pour ça que je t’aime Coralie.
Moi : Waw, tu as beaucoup pensé à ce que je vois et sa va dans les deux sens autant pour moi que pour toi, notre différence, je sais ce n’est pas tout à fait pareil, mais moi aussi je t’aime pour ça … … … approche.

Je m’assis dans mon lit
Et il vint me rejoindre
Je le serrai fort dans mes bras
Et il fit de même
On finit par s’allonger
Et dormir l’un contre l’autre.

J'adore j'adore j'adore!!!!!!!!

Sérieux je love trop ta fic!!!

SUiTe!!!!!!!!!!

Merci

Chapitre 41 :

Cette nuit là
Mon sommeil fut reposant
Cela faisait bien longtemps
Que je n’avais pas si bien dormi
Malheureusement
Mon réveil sonna
Me sortant de mes pensées
Je m’enlevai des bras de Bill
Délicatement
Prenant bien soin
De ne pas le réveiller
Parce qu’apparemment
Le réveil ne l’avait pas fait.
Je m’assis au bord du lit
Frottai mes yeux.
Puis en attachant mes cheveux
Je me retournai
Et regardai ce visage endormi
J’aurais pu rester le contempler des heures
Mais il me fallait partir
A mon grand regret
Je pris mes vêtements
M’habillai
Ouvris la porte
Mais …

Bill : Tu t’en vas ?

Je pivotai
Et vis Bill
Encore a moitié endormi
Les yeux plissés.

Moi : Oui, je vais au lycée, désolé de t’avoir réveillé.
Bill : Pas grave, bonne journée.
Moi : Moi bonne nuit.
Bill : ^^ Je t’aime.

Après ces mots
Je m’approchai de lui
Et lui déposai un beau baiser.

Moi : Moi aussi … très fort.
Bill : Si je pouvais je viendrais avec toi, mais … j’aime trop dormir et j’aime vraiment pas les cours alors je peux pas : D
Moi : Genre … faux c*l. ^^
Bill : Tu reviens à quelle heure ?
Moi : 18hoo, j’ai étude à cause de tout les cours que j’ai manqué. Quelle m*rde.
Bill : ^^ a côté moi j’ai la belle vie.

Il se laisse tomber sur les oreillers
Les mains derrière la tête
Avec son sourire satisfait.

Moi : Oh, c’est sûr que rencontrer des journalistes qui te posent des questions, pratiquement toutes, inintéressantes ou auxquelles tu as répondu des centaines de fois.
Ou encore te faire courser par des filles qui gueulent : « BillOuuuuuuu je t’aiiiiiiiiiime !!!!!!!!! » au bord des larmes.
Devoir faire ce sourire forcé affreux qui gâche ton beau visage.
Ou avoir le droit a des rumeurs dans les journaux à chaque fois que tu ouvre la bouche ou fais un pas…

Il s’était rassis
Et compté sur ses doigts
Les raisons
Pour lesquelles j’avais tord.

Bill : Là t’abuse, contre ça, je vis ma passion, je fais de magnifique rencontre, je dépense toute mon énergie sur scène, procurant du plaisir aux fans…

Je l’avais irrité
J’en émis un petit sourire.

Moi : Je sais, c’est juste que j’aime quand tu es contrarié, parce que ça te fait réfléchir et tu fais ce truc avec tes cils. C’est trop.
Bill : Rrrr aller file !

Je me levai
Et je reçus une tape sur les fesses.

Moi : Eh !
Bill : J’ai pas pu résister .

Je fini de me préparer
Et m’en allai.

J'adore la petite tape que Bill lui donne: "J'ai pas pu resister" !!!

Ca me fait trop marrer parce que mon chéri me fait pareil lol!!!

Enfin bref, suite!!!!!

LOL


Chapitre 42 :

Sur le chemin
J’étais à pieds
Avec mon MP3 sur les oreilles.
Quand je crus entendre
Que l’on m’appelait
Je fis face
Au vide antérieur
Qui se trouvait derrière moi
Lily courait vers moi
Toute essoufflée
Elle me regardait avec de grand yeux.

Moi : Quoi ?
Lily : Tu … comptais … m’attendre … un jour … ou pas ?
Moi : Respire. J’avais ma musique sur les oreilles, désolé.
Lily : Tu peux parce que maintenant je dois plus ressembler à grand-chose.
Moi : ^^ Tu sais tu …
Lily : STOP ! Je ne veux pas entendre que je ne ressemble à rien d’habitude alors ça ne peut pas être pire ! Ou du même genre, OK ?
Moi : Gna … je voulais juste dire que tu étais écarlate.
Lily : C’est ça rattrape toi … Et qu’est-ce qu’on va penser de moi ?
Moi : Que tu as piqué un cent mètres pour me rattraper, comme une fois par semaine depuis toujours.
Lily : Toi, t’as bien dormi je me trompe ?
Moi : Co…
Lily : Oh et pas toute seule, nan ?
Moi : Lily !

Elle me regardait
Avec un regard sûr d’elle
Levant un sourcil
Attendant que je daigne enfin
Affirmer ses propos
Je la dévisageai
Déconcertée.

Lily : Coralie.
Moi : … Bon d’accord.
Lily : Je le savais ! Je suis trop forte. Ah la la, il n’y a pas plus forte que moi, je suis THE BEST OF THE MUST…
Moi : Bon, c’est bon, t’as fini avec les fleurs ?
Lily : Une dernière, je suis génialissime
Moi : Lily.
Lily : Quoi !? Personne ne m’en lance, c’est vrai quoi, il faut bien que quelqu’un le face !
Moi : D’accord… attends ce serait pas un reproche ?
Lily : Non, juste une remarque.
Moi : Tu sais à qui tu le fais penser ?
Lily : Dis toujours.
Moi : Tom.

Elle me regardait fixement
Comme si j’avais dit la chose
La plus abominable qui soit.
Puis elle commença à avancer
Sans moi
On rigola sur le reste du trajet
Puis la journée de l’ennuie se déroula
Tant bien que mal.

Oulah, un nouveau petit couple a l'horizon??

suite!!!!

hum mais encore ?

suite

Sooooouuuuuuuuiiiiiiittttteeeeeeeeeuuuuuuuuuuuhhhhhhhh stp!!!

Désolé je me suis absentée
Tout le WE
Mais ce qui compte
C'est que maintenant
Je suis là !

Chapitre 43 :

Sur le chemin du retour
Après avoir ramener Lily
Je m’imaginais déjà
Rentrer à la maison
M’écrouler sur le canapé
La tête assoupie sur l’épaule de Bill
Me plaignant de mon affreuse journée
Et il m’enlacerait avec de doux baisers
Et on passerait une soirée
Seuls, rien que nous deux
A nous empiffrer de pop corn
Devant un bon film américain
Mais ces pensées ne se réalisèrent guère
Car en rentrant
Il n’y avait personne
Ni dans le salon
Ni dans la salle à manger
Quand un bruit de placard
Se fit entendre
Provenant de la cuisine
Je fus prise d’espoir
Déposais mes affaires
Et accourai à la cuisine.

Moi : Bill ?

Mais mon espoir s’éteignit
Aussi vite qu’il était venu.

Moi : Ah … c’est toi …
Annie : Oui ce n’est que moi. Les jumeaux sont chez leur familles et Georg de même. Gustav est dans sa chambre.
Moi : La maison paraît plus vide tout à coup.
Annie : Je trouve aussi, mais ils reviendront ne t’en fais pas. Sinon les cours s’étaient comment ?
Moi : Et tes affaires au boulot ?
Annie : D’accord, j’ai compris ne parlons pas des choses qui fâches c’est ça ?
Moi : Exactement ! … bon je monte.
Annie : Je vous appelle pour le dîner.
Moi : OK !

Je pris mes affaires
Montai vivement les escaliers
Balançai mon petit m*rdier sur mon lit
Et toquai chez Gustav.

j'aime toujours autant donc suite?

Chapitre 44 :

Gustav : Ouep.
Moi : Coucou !
Gustav : Coucou soeurette !

Je m’installai au bord du lit
Sur lequel il était tranquillement allongé
A lire un poche
Je dus me pencher sérieusement
Sur le côté
Pour lire le titre.

Moi : Les notions de philosophie, Socrate ?
Gustav : Un philosophe.
Moi : J’avais deviné. OH mais c’est que Mr Gustav lit des livres intellectuels ! ou des gars font des phrases qui font la taille d’un paragraphe, et que à chaque mots tu es obligé de prendre un dico pour tenter de comprendre, alors qu’il existe un tas de mot bien plus simple pour dire ces choses !
Gustav : Tout a fait sauf que MOI je n’ai pas besoin de dico, contrairement à toi.

Il me regardait d’un air supérieur
Mais j’avais de quoi le faire ravaler
Sa fierté
Je regardais autour de moi.

Moi : OK, elles sont où tes revues porno que tu as caché juste avant que je rentre ?
Gustav : Co’ !
Moi : Peut-être sous le lit ?!

Je me baissai
Me ne trouvai rien
A part de la poussière
Puis commençai à fouiller les tiroirs.

Gustav : Arrêtes tout est rangé !
Moi : Mais pas propre.

Je passai l’index sur le meuble
Et montrai mon doigt gris de saletés
Hélas il trouva le moyen
De me faire arrêter les fouilles.

Gustav : Alors les cours ?

Il me regardait amusé
De voir mon regard noir
Nous en étions au score
Un contre un
Enfin pour l’instant …

Moi : Alors comment vont les amours ?

Contente de moi
Je souriais
Alors que lui me renvoya
Mon précédant regard noir.
Deux contre un.

Moi : Quoi ? On était bien parti dans les sujets qui fâchent, non ?

Il grimaçait.

Gustav : Gna.
Moi : « Gna » ? Je suppose que ça veut dire non.

Oh trois contre un
Et là je pris la volée du siècle
Par un vulgaire oreiller !
Rrr trois contre deux
Je soupirai
Dégageai mes cheveux
Qui gênaient mes yeux.
Très calmement
Pris l’oreiller avec détermination
Vers Gustav
Qui jusqu’ici
Se bidonnait à voir ma tête

Gustav : Tu verrais la tronche que tu tires !
Moi : Dis toi que dans moins de deux minutes, tu serras pire.
Gustav : Je crois pas non
Moi : Oh et moi je crois bien que si !

Ce fut le commencement
D’une énorme bataille de polochon
Dans un énorme déplacement de poussière
Et un grand désordre.
Quand on eut fini,
Nous étions affalées par terre
Crevé.
Match nul
Nos regards se croisèrent
Et on piqua une crise de rire
Entre chaque éternuement
A la fin j’en avais les larmes aux yeux
A ne plus rien voir
Je courus à la fenêtre
L’ouvris.

Moi : Ouh de l’air.

Je respirais fortement
L’air frais
Quand Annie poussa la porte
Découvrant les dégâts.

Annie : Mais qu’est-ce que c’est passé ici ?
Moi : … On a fait le ménage.
Gustav : ça ne se voit pas ?
Annie : On voit surtout que vous avez un manière bien particulière de le faire !

On rie
Puis redescendit manger
Le soir même
Je me confiai à Gustav
Comme je l’avais fais la veille avec Bill
Puis allai me coucher
Je me glissai sou la couette
Posai ma tête sur l’oreiller
Sauf que quelque chose me piquait dans le cou
J’y passai alors ma main
Découvrant …

une petite attention de Billou chérie chui sûre ^^ suite?

Chapitre 45 :

Découvrant un petit paquet
J’allumai la lumière
Pour mieux voir la chose
Le paquet était carré
Enveloppé d’un papier rouge
Enlevant de son sachet la boîte de velours noir
Qu’il contenait
Je l’ouvrais
Et un bracelet s’offrit à moi
Une simple chaîne de taille moyenne argentée
Avec en pendentifs,
Une tête de mort
Avec de petits diamants à la place des yeux,
Un cœur métallique
Et une étoile comme son tatouage
Au bas de la hanche en argent
Je les caressais du bout du doigt
Souriant
Ce bijou était accompagné
D’un mot de la main de Bill.
« Hey mon ange,
À l’heure où tu dois lire ces lignes
Je ne suis sans doute déjà plus là
Mais je pense tout de même très fort à toi
De chez mes parents
Nous ne tarderons pas de nous revoir,
BizouxXX
Je t’aime
Bill.
PS : J’espère que ça te plaît,
La tête de mort représente ton passé,
Le cœur ton présent,
Et l’étoile est une partie de moi
Que tu emporteras où que tu ailles. »
Je contemplai encore quelques minutes
Ce merveilleux présent
Puis le déposais soigneusement
Sur la table de chevet
Pour ensuite dormir.

J’émergeai tout doucement
Le lendemain matin
Jusqu’à ce que Gustav
Débarque en trombe
Dans ma chambre
Me faisant sursauter
Puis il se permit d’ouvrir mes volets
Alors je me recouvris de ma couette
Etouffant mes mots.

Moi : Gustav !
Gustav : Debout ! Aller lève ton c*l !

C’est ce que je fis
Mon postérieur forma une bosse
Sous la couette
Il gloussa
Et s’assit à côté de moi.

Gustav : Co’ t’es pas drôle, je suis sérieux, on a rendez-vous chez les Kaulitz à 11hoo.
Moi : Et il est ?
Gustav : 1ohoo.

Je fis voler mes draps
Et fonçai à la salle de bain.

Moi : T’aurais pas pu le dire plus tôt !?

Je me préparai en quatrième vitesse
Dévalai les escaliers
Et partit avec Gustav et Annie
Direction : La maison Kaulitz.

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!

Chapitre 46 :

Je fus très bien accueillie
Dans cette spacieuse et luxueuse demeure
On prit tous place
Dans la grande salle
Il y avait déjà Georg et ses parents
Que l’on salua.
Il nous fut servi à boire.
Simone se leva
Suivie de prêt par Gordon
Ils se prirent les mains.

Gordon : Si vous êtes tous réunis ici aujourd’hui, c’est la simple et bonne raison que … Simone et moi sommes fiancés et nous allons nous mariés dans quelques mois.
Bill : Enfin !
Tom : Ce n’est pas trop tôt.
Moi & les autres : Félicitations.

Bill m’expliqua un peu plus tard
Que sa mère avait longtemps hésité
A cause de son père
Puis elle vint me voir
Et me prit à part dans la cuisine.

Simone : Tu seras bien évidement invitée, Coralie, mais à la table familiale.
Moi : Je pensais, étant donné que je fais partie de la famille Schäffer, être à la table des amis.
Simone : Tu sais la famille Kaulitz n’est pas très étendue alors les proches amis en font comme parti.
Moi : Je comprends.
Simone : Bien, dans quelques jours nous irons avec Annie faire du shopping entre filles après avoir fixer quelques préparatifs avec Gordon … joli bracelet.
Moi : Merci c’est de Bill.
Simone : Oh … ça il ne l’a pas fait avec la précédente …

Sur ces mots
Elle sortit de la cuisine
Je restai plantée là
Qu’est-ce qu’elle pouvait bien vouloir dire ?
Je sentis des mains passer
Sur mes hanches
Serrant une étreinte
Je posai ma main sur son visage
Son odeur flottait dans l’air
Autour de moi
Je l’inhalais avec plaisir
Fermant les yeux
Sa main caressa mon épaule
Suivant les lignes de mon bras
Jusqu’à mon poignet
S’attardant sur le bracelet
Puis passa ses doigts entre les miens.

Bill : Il te plaît ?
Moi : Enormément. Merci.
Bill : Comment tu trouves la signification de chaque objet ?
Moi : Parfaite, ça m’a fait très plaisir.
Bill : Alors ça me va allons rejoindre les autres.

On s’embrassa
Et retourna à la salle.

J'aime tjrs autant!!!

suite!!!

Bienvenue yumi13


Chapitre 47 :

Quelques jours passèrent
Sous le signe du bonheur
Les préparatifs avançaient
A vitesse grand V
Un après midi
Bill proposa de passer me voir
Il avait quelque chose à me demander
Je lui ouvris peu de temps
Après son appel.

Moi : Coucou mon biquet !!!
Bill : …

Je ris
Sous son regard étonné
Désemparé.

Bill : C’est mon nouveau surnom ?
Moi : Non, vu qu’apparemment il ne te plaît pas !
Bill : Ouf, tu m’as fait peur l’espace d’une minute, parce que c’est assez rétrogradant comme surnom.
Moi : Lol.

On monta dans ma chambre,
S’assit sur mon lit
Il me prit les mains
Et me regardais avec sérieux
Dans les yeux.

Moi : Oui ?
Bill : Voilà … euh … tu sais ma mère va se remarier …
Moi : Mm m.
Bill : Et l’autre jour, tu as dit que tu savais le faire et j’aurais bien aimé que tu me l’apprenne.
Moi : Je veux bien, mais je ne pourrais pas tant que tu ne m’auras pas dit de quoi il s’agit.
Bill : Apprends-moi à danser.

Je ne pus m’abstenir de glousser
Après la façon
Dont il avait dit
Plaquant immédiatement
Ma main sur ma bouche

Moi : Pardon, ce n’est pas drôle.
Bill : Ok, laisse tomber.
Moi : Non, je vais t’aider. Quel genre de danse tu veux apprendre ? Rock, salsa, valse, tango … ?
Bill : Un peu de tout, surtout à être sur le bon rythme.
Moi : Pas de problème. On commence tout de suite ?
Bill : Oui s’il te plaît.

Je farfouillai dans mes CD
Quand j’en sortis Elvis Presley
Ça avait beau être vieux
Ce n’était ni trop lent
Ni trop rapide
Pour une première danse
J’insérai le disque
Dans le lecteur
Levant Bill.

Moi : Euh … tes chaussures, s’il te plaît.
Bill : Pourquoi ?
Moi : Par simple précaution. ^^
Bill : Non je n’ai pas deux pieds gauches.
Moi : Oh on ne sait jamais.
Bill : Mais … bon d’accord.

Il les enleva
Ses santiags je précise
Et l’on commença par les pas de base
Sans musique en premier temps
Puis on l’appliqua sur plusieurs chansons
En deuxième temps
Suivies de passe en troisième lieu.
Et l’on changea de danse
Ce fut comme ça
Pendant toute l’après-midi
A la dernière je pris beaucoup de plaisir
Je l’enlaçai sur un slow.

Moi : Tu as très bien travailler, tu deviens même doué.
Bill : C’est parce que j’ai eu un bon professeur.

Sur ceux
Je l’embrassai passionnément
Et il me répondit
En resserrant son étreinte
Et en m’embrassant de plus belles.
On sursauta
Quand tout à coup
La porte s’ouvrit violement
Laissant apparaître un Tom intermède
Dans l’entrebâillement de celle-ci.

Tom : Ah … je croyais que …
Moi : Qu’est-ce que tu croyais au juste ?
Tom : Que c’était bon, que vous aviez enfin … conclut.

Je laissai ma tête tomber
Heurtant celle de Bill
Qui avait eu le même réflexe.

Moi & Bill : Aïe. Pardon.
Bill : Comment ...?
Tom : Vous dîtes des choses pas très net faut dire aussi.
Moi : Que Bill a bien retenu ce que je lui ai appris ?
Tom : Ouais ça !
Moi : On parlait de danse !

Oups
Je me retournai lentement vers Bill.

Moi : Tu ne voulais pas le dire peut-être ?
Bill : Non, mais il l’aurais deviné, ce n’est pas grave.

Ouf
Tom hurlait de rire.

Tom : Bill ! Regarde la vérité en face ! Jamais tu ne sauras vraiment danser ! Tout du moins correctement à mon goût.
Bill : Bien sûr que si je te le prouverais au mariage.
Tom : J’ai hâte d’y être ! Rien que pour t’humilier en public.
Bill : On verra bien qui serra le plus ridiculisé de nous deux, mon biquet !!!

Je ris tout autant que Bill
Puis Tom s’en alla
Sans un mot
On continua ces « cours »
Pendant plusieurs semaines
Bill devenait très doué
Il n’avait même plus besoin
D’enlever ses chaussures