[Fiction] Mourir un jour, Rennaître l'autre

Naaaan !
J'en veux encore
Encore et encore et encore .

J'aime toujours c'est vraiment super mais sa va trop vite à lire >_< !

Merci
Lol
Le truc c'est que
J'ai plus beaucoup
De chapitre d'avance

Chapitre 79 :

Moi : Je peux lire dans les pensées. Tu as de quoi m’en vouloir, alors si tu le fais, je comprendrais.
Lily : Waw, je savais que tu étais différente mais pas à ce point.

Elle avait reculé
Puis fit un pas vers moi
Prit mes mains
M’attirant vers elle
Me regardant encore un fois intensément.

Lily : Quoique tu saches faire, tu resteras toujours Ma Coco d’Amour, tu es comme tu es et c’est comme ça que je t’aime et que je te veux comme meilleure amie, et pas autrement.

Je lui fis un gros bisou humide
De quoi lui écraser la joue
On s’enlaça de nouveau
Puis on se raconta
Tous ce qu’on avait manqué
L’une sur l’autre
Durant cette absence d’amitié,
De complicité
Qui existaient entre nous
Elle fut désolée
D’apprendre notre séparation
Entre Bill et moi
Puis au bout d’une heure
Temps que l’on n’avait pas vu défiler
Elle du s’en aller.

Moi : Lily, je ne sais pas comment on a fait pour supporter de ne plus se voir, se parler aussi longtemps.
Lily : Tu as été très occupée, tu avais des problèmes plus importants qu’une stupide dispute entre amie.
Moi : Ce doit être ça, je t’appelle dans les prochains jours.
Lily : Ouais ! Il faut qu’on reprenne nos habitudes du bon vieux temps.
Moi : Oh que oui, j’en aurais bien besoin.
Lily : Bonne soirée. Je t’aime fort.
Moi : Merci. Moi aussi Ma Petite Lily.

la suite please jaime tro ta fic !!!!

J'aime ce chapitre
Pour une fois

Chapitre 8o :

Avant de retrouver
Tout le petit monde
Je passai aux toilettes
Mon maquillage avait un peu coulé
Je rectifiai tout ça
Quand la porte s’ouvrit
Laissant apparaître
Une silhouette familière.

Moi : Bill, tu sais que c’est les filles ici. Ah moins que tu ne te sois pas trompé comme certaine personne peuvent le croire.
Bill : Coralie, tu es bien placée pour savoir de quel sexe je suis.
Moi : ça tu vois, tu aurais pu éviter de ma le rappeler, ça aurait été sympa.
Bill : Comme si on était sympa l’un envers l’autre depuis notre rupture.

On ne s’était pas trouvé
Seuls dans la même pièce
Depuis le lancement de la « guerre »
Et il fallait qu’il me rappelle
D’où toutes ces crasses
Avaient commencé.
Il s’appuya contre un mur
Perpendiculaire à celui des miroirs
Devant lesquels je me trouvais
Puis il posa un de ses pieds
Contre le carrelage blanc du mur
Et joua avec ces bracelets
Alors que je continuai mes rectifications.

Bill : Tu sais c’est parfait.
Moi : De quoi ?
Bill : Entre moi et Gladys, elle est parfaite, notre relation aussi, notre amour aussi, tout quoi.
Moi : Tant mieux pour toi, mais si t’es là pour me raconter votre vie amoureuse et ce que vous faîtes ensemble, tu peux déjà t’arrêter là, parce que je ne t’écouterais pas.

C’était quoi ce besoin soudain
De me dire ces choses
Dont je me fichais royalement.

__________________

.Ses pensées.

Je l’aime, elle m’aime, on s’aime, nous nous aimons …

__________________

Moi : Bill !
Bill : Quoi ! Tu ne peux pas m’empêcher de penser !
Moi : Non. Hélas. Car si je le pouvais je le ferais volontiers ! Salut.
Bill : Salut.

Je claquai la porte derrière moi
Je n’avais nullement besoin
De connaître ses sentiments
Il le sait
Il le sait que ça m’atteint
Que ça me touche
Et que ça me fait mal
Il le sait
Cette salop*rie.

Chapitre 81 :

Je me suis rassise sur ma chaise
Quelque peu agacée
Alors que Chris
Posté sur la chaise voisine
Observaient les gens qui parlaient.

Chris : Il t’agace, tu le détestes, mais tout va bien.
Moi : OK, c’est quoi ton truc ?
Chris : Quel truc ?
Moi : ça ! Le fait que tu saches ce que je ressens, alors que tu m’as à peine regardé !

Puis il se tourna vers moi.

Chris : Tu sais Coralie, tu es une personne très expressive, je l’ai remarqué la première fois que je t’ai vu et ton regard b’arrange rien.
Moi : J’ai à peine prononcé un mot et tu sais déjà tout ce que je ressens, c’est quoi ton secret ?
Chris : L’observation, par exemple toi et Bill.
Moi : Genre tu pouvais pas choisir quelqu’un d’autre.
Chris : Non, bref.
Moi : Ouais, aller dit, que je puisse te dire que tu as tort.
Chris : Les regards que vous vous lancez, les piques que vous vous envoyer, c’est à premier vu de la haine, mais quand tu regarde plus loin, il reste de l’amour entre vous.
Moi : Pfft mais bien sûr.
Chris : Si, si je t’assure. Coralie le pire sentiment que tu peux avoir envers quelqu’un c’est l’indifférence, l’ignorance…
Moi : Attends. Tu insinuerais que j’aime Bill ?
Chris : Non.
Moi : Ouais, parce que ce n’est pas le cas. Et s’en est loin.
Chris : Tu ne comprends pas, je n’insinuerais rien, je le sais et toi aussi, sauf que tu ne le t’avoues pas. Tout comme lui.
Moi : Et il est hors de question que je le fasse, car ce serait peine perdue, il m’a déjà remplacé.
Chris : Ah oui, alors pourquoi te garde-t-il tout de même dans sa vie ?!

Que répondre face à ça
Je n’en ai moi-même pas la réponse
Ce que ça peut être énervant
De parler à une personne
Qui a réponse à tout.
Simone et Gordon se levèrent
Entamant la première danse
Qui ne fut autre qu’un slow.
Bill prit Gladys par la main
Depuis quand était-il revenu ?
Il l’emmena
Puis ils s’enlacèrent
Chris s’était levé
Et me tendait la main.

Chris : ça ne te fera pas de mal.
Moi : ça ne me fera pas de bien non plus.
Chris : Arrête de te poser des questions et viens danser.
Moi : … d’accord.

On marcha jusqu’à la piste
Prenant soins de se mettre loin d’eux
Chris me prit par la taille
Je passai mes mains autours de son cou
Laissant une distance entre nos deux corps
Puis je finis par poser ma tête sur lui,
Qui posa la sienne sur la mienne.

Merci beaucoup

Chapitre 82 :

Gustav et Evangeline
Etaient mignons.

On alternait les couples
Je passai par tout le monde
Puis au moment d’arriver à Bill
Je prétextai que j’en avais marre
J’avais tout de même remarqué
Que mes « cours »
Lui avait bien servis ce soir.
Ce n’est pas Gladys
Qui s’en serait plainte
On rigolait, mangeaient, discutaient, dansaient
Et ce pendant plus de cinq heures
Sans jamais s’en lasser.
Puis les garçons
Furent incités à monter sur scène
Leurs instruments furent installés.

Tom : Qu’est-ce qu’on joue ?

Bill s’approcha de chacun
Leur murmurant le titre à l’oreille
Puis il se retourna s’assit sur un tabouret
Me regardant en coin.

_______________

.Ses pensées.

Pour toi Coralie, Nach Dir Kommt Nichts.

_______________

Moi : Quel s*laud.
Chris : Quoi ?
Moi : Soit attentif aux paroles et tu comprendras.

On dansait toujours
Comme un tas de gens autours de nous.
http://www.greatsong.net/TRADUCTION-TOKIO-HOTEL,NACH-DIR-KOMMT-NICHTS,102281515.html
Après le premier refrain
Chris compris
Alors que j’étais obnubilée
Par les « je te hais. »

Chris : Ah d’accord,je vois. Tu tiens le coup ?
Moi : Ce n’est pas une chanson qui m’arrêtera.
Chris : L’amour, si.
Moi : Ferme-la un peu tu veux.
Chris : Je ne fais que t’aider.
Moi : Je t’arrête tout de suite, je vais très bien.
Chris : Coralie, je n’ai pas peur que tu m’en veuilles pour ce que je vais te dire mais, derrière, après toute cette haine que vous éprouvez l’un envers l’autre, votre amour s’y cache, mais il est bel et bien là.
Moi : Je ne t’en voudrais jamais de dire des conneries.
Chris : Alors je te les répèterais, jusqu’à ce que tu ne fasse plus l’idiote à refouler tes sentiments.
Moi : J’en ai assez entendu pour la soirée. Salut.

Je le repoussai et partis
Sans lui adresser un dernier regard
J’aperçu juste un sourire
Se dessinant sur les lèvres de Bill.

Chapitre 83 :

En passant à côté des tables
J’empoignai une bouteille de Canada Dry
Puis une autre de whisky
Et un verre.
Je voulais oublier
Oublier ce que c’était
De ressentir quelque chose
Comme des sentiments
Oublier ce qu’est l’amour
Oublier Bill..
Je pris place sur un banc
Qui se trouvait dehors
Sous seule lumière
Celle qui traversait les vitres de la salle
Je versais un fond d’alcool
Dans mon verre
Puis le remplis de Canada Dry
Je bus celui-ci d’une traite
Que je remplis
Puis vida de nouveau
Et ainsi de suite
Jusqu’à ce que la bouteille de Canada Dry
Soit vide
Je décidais donc de finir au whisky pur
Les premières gorgées furent rudes
Mais je m’y fis.
Quand elle aussi fut vide
Je la balançai contre un mur
Celle-ci se brisa en mille morceaux
J’aurais aimé qu’il souffre lui aussi
Qu’il est mal
Ce coup lui était destiné
Ce coup de colère
De haine
De hargne
De rage

… : Coralie ?!

Je fis volte face
La lumière m’aveuglait
Mes pensées étaient brouillées
Sous l’alcool
Ma tête me martelait si fort
Que je n’entendis plus rien d’autres
Que mon prénom pendant quelques secondes
Prononcé par cette silhouette
Brandissant un lampe torche sur moi.

Moi : Arrêt euh ! Tu vois pas euh que j’y vois plus rien euh.
… : T’as bu ?!
Moi : C’est possible, eh oui tout est possible, tout est réalisable euh. Rah, rah, rah.
… : Aller viens je vais te ramener.

Elle me prit le bras
Geste que je repoussai immédiatement
Je reconnaissais à peine sa voix
Pour savoir de qui il s’agissait.

Moi : ‘Veux pas aller avec toi, chais pas qui t’es ! et puis ma môman m’a toujours dit de pas parler aux inconnus !
… : Mais je ne suis pas un inconnu !

Il mit sa torche
Contre sa poitrine
Éclairant son visage
Je ne captai pas la personne
J’étais trop obnubilée par le jeu de lumière
Comme une enfant très amusée par celui-ci.

Moi : Vas-y refais-le, mais cette fois, dis : « ça va saigner !!! ».
… : Non.
Moi : Mais euh ! Si ! Roh t’es pas drôle euh!
… : Tu es ivre.
Moi : Non, juste un peu pompette, c’est pas pareil euh.
… : Bouges pas, je vais chercher les clés de voiture.

Je m’étais figée sur place
Me retenant de rire,
Je crois que je l’exaspérais,
Chacun ses réactions du à l’alcool.

… : Au moins tu fais ce qu’on te dis
Moi : Pif ! Comment tu veux que j’y arrive si tu me parles va faire ton truc .Pif !

Il finit par courir en direction de la salle
Puis revenir muni d’une clé
Il me prit par la main
Sans prononcer un mot je le suivis
Je me sentais vaciller de fatigue
A chaque pas.
Mon « inconnu » m’installa sur le siège passager
Je me souvenais avoir entendu
Le système à distance d’ouverture des portes
[Tut Tut XD]
Et des feux clignotant le signalisant
Puis j’avais du m’endormir
Parce que je ne me souvenais de rien
Sauf peut-être d’avoir vomi
Et qu’il ma tenu les cheveux à ce moment là
Il m’avait même murmuré des paroles rassurantes.

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Je suis à sec
Donc pas de suites avant
Demain au moins

Haaaan mais tu peux pas me faire sa !
Tu peux pas nous faire sa !
Moi je veux savoir ce qu'il se passera mais bon je serais passiente . . .
En tout cas j'aime beaucoup cette fiction.
C'est super bien écrit et tout . . .

elle est tro bien ta fic!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je suis tro accro tu ecrit tro bien et j'adore ton histoire
une suite s il te plait !!!

Ah naaaaaaan t'arrêtes pas là

Je veux savoir qui est l'inconnu >_<

SWIITE =D

Je suis accro

non !!!! taime faire attendre les gens toi !!!

hate detre demain je veux savoir qui cest !!!!

on est demain!!!!!!^^suite

Bravo
Pour votre patience

Chapitre 84 :

Ce fut le plus dur réveil de ma vie
J’avais un affreux mal tête
L’estomac vide
Des yeux fatigués
Des membres faibles
Je réussi péniblement
A m’asseoir dans mon lit
Enfin dans le lit où j’étais
Car en regardant autour de moi,
Je connaissais cet endroit mais,
Ce n’était pas ma chambre.
Puis mon regard se figea
Sur le corps endormi
Qui était à côté de moi
C’était donc lui mon « inconnu »
Comment avais-je fais
Pour ne pas reconnaître :
Son odeur
Ses mains
Son regard
Sa voix
Lui
Bill.
Je voulais sans doute
Ne pas le reconnaître
Pour ne pas avoir à penser
Puis je remarquai enfin
Après plusieurs minutes d’observations
Et de réflexion
Qu’il était seulement vêtu
D’un boxer.
Et moi de mes sous-vêtements
Et d’un tee-shirt qui devait lui appartenir
Est-ce qu’il… ?
Non, je ne veux pas le croire
Jamais il n’aurait osé
Pas moi
Non, c’était impossible
Ou alors …
Enfin j’avais bu.
Je n’étais sans doute pas moi-même
[Pour celles/ceux qui n’auraient pas compris
On parle d’abus sexuel ou de rapports.]
A présent je fixais devant moi
Pensive sur ceux qui aurait pu se passer.

Bill : Coralie, sa va mieux ?

Dans un sursaut
Je me retournai vers lui
Il était appuyé sur un coude
Me regardant.

Moi : Est-ce que tu as … enfin est-ce qu’on a … ?
Bill : Couché ensemble ?
Moi : Oui.
Bill : Non, je ne me le serais pas permis.

J’expirais de soulagement.

Moi : Alors qu’est-ce que je fais dans ta chambre, dans ton lit, vêtue de pas grande chose, avec toi comme ça…

Je désignai son boxer.

Moi : …à côté de moi. En plus tu m’as aidé, j’y comprends plus rien, hier encore tu m’aurais laissé dans un état pitoyable et tu m’aurais humilié, pourquoi avoir changé ?!
Bill : Pourquoi pas ? Écoutes Coralie, je…

Il s’était assis près de moi
Ses yeux brillaient.

________________

.Ses pensées.

Comment le lui dire …
_________________


Moi : Me dire quoi ?
Bill : Je…

_______________

.Ses pensées.

… je n’éprouve pas que de la haine envers toi, malgré notre séparation, tu fais parti de ma vie, je ne peux pas t’oublier dans un claquement de doigts.
_________________


Moi : Je ne t’ai pas oublié non plus à vrai dire je crois même que … que je t’aime encore.
Bill : C’est vrai ?! Tu paraissais tant éprouver le contraire.
Moi : Bah non, je ne me l’étais pas encore avoué, mais ça ne sert plus à grand-chose aujourd’hui, car tu as Gladys, et comme tu me l’as fait comprendre, c’est parfait entre vous.

Je m’étais levée
Avec la couette autour de la taille
Cherchant quelque chose à enfiler
Comme un pantalon ou autres.

Bill : Oui, mais …
Moi : Non Bill, vous êtes très bien ensemble, vous vous aimez, vous vous entendez à merveille, vous devez sans doute vous comprendre.
Bill : … oui … tout est parfait … trop parfait.
Moi : Quoi ? Trop parfait ? Je ne peux pas te croire.
Bill : Gladys est génial je ne dis pas le contraire mais c’est trop bien pour moi, nous ne sommes jamais en désaccord, sur rien et elle aime tout ce que je fais rien ne lui déplaît.
Moi : Et tu te plaints ?!
Bill : Essaye de comprendre …
Moi : Non je refuse et puis ce n’est pas à moi de te confier, je suis trop mal placée … tu n’aurais pas un pantalon de jogging pour remplacer la couette ?
Bill : … deuxième tiroir à gauche, tu veux prendre une douche ?
Moi : Non … merci, je vais rentrer.

J’enfilai le premier pantalon
Qui m’étais venu sous la main
Un basic noir
Avec deux bandes blanches sur le côté.
Quand la porte s’ouvrit.

jaurais jamais penser que cetais bill lol

a quand la vraie reconciliation ???

suite vite please !!!!!!!!!!!!!

j'aurais pas pense que c'etait bill!!!!!!!!
c tro bien on sent la reconciliation...
allez une suite please!!

Chapitre 85 :

Gladys se figea sur place
Découvrant Bill à moitié nu sur son lit
Et moi portant des vêtements à lui
Elle se retenant de pleurer
Dévisageant Bill.

Gladys : Tu me dégoûtes.
Moi : Non, ce n’est pas ce que tu crois, j’étais cuite, il ne s’est rien passé … !

Trop tard
Elle avait claqué la porte.

Moi : Pourquoi tu n’as rien dit !
Bill : Tu l’as fait pour nous, je vais la voir.

Il se leva du lit
Mais je l’arrêtai.

Moi : Je ne crois pas qu’elle ai envie de te voir, tout du moins pas tout de suite, laisse lui cinq minutes.

Il s’habilla
Puis au moment de sortir
Il m’appela.

Bill : Coralie ?
Moi : Oui ?

___________________

.Ses pensées.

Je t’aime.
______________________


Moi : Non, Bill, tu …

_____________________

.Ses pensées.

Et tu ne m’en empêcheras pas.
______________________


Puis il sortit
Je me mordais les lèvres
M’asseyant sur le lit
La tête dans les mains.


.Mes pensées. Et m*rde …

Je me laissai tomber en arrière
Soupirant
À la réflexion
J’étais tout de même heureuse
De savoir qu’il m’aimait
Quelque part au fond de moi
Je le savais déjà
Je l’ai toujours su
Sans jamais vraiment le savoir
Et puis on ne raille pas
Une personne qui a été importante
Dans le passé
De sa vie
Et c’était vrai que sous cet angle
Je ne pouvais oublier Bill
Ces derniers temps
J’avais tendance à effacer de ma mémoire
Le fait qu’il m’ait sauvé la vie
Ce que je ne devrais pas négliger à son égard
Mais aussi qu’une personne comme lui
Ne court pas les rues.
Pas uniquement pour son physique
Et ses traits inimitables,
Si l’on met à part Tom,
C’est une de ces personnes hors du commun
Que tout le monde aimerait rencontrer
Que tout le monde devrait rencontrer
Une personne comme lui
Que tout le monde devrait avoir à ses côtés
Pour ne jamais avoir à arriver
Jusqu’où j’ai été
D’où il m’a sauvé
En risquant tout de même sa vie
Alors que je n’étais qu’une inconnue.
Mais hélas ces personnes sont rares.
Et les occasions d’en rencontrer de telles
Tout aussi minimes.
Et alors que moi j’ai la chance d’en avoir une
Ces dernières semaines
J’ai détesté profondément cette personne
La blessant à plusieurs reprises
Et alors que j’ai cette chance
Je la maltraite,
Je la néglige,
Je ne la mérite sans doute même pas.
(Des larmes s’échappèrent du coin de mes yeux.)
Et pourtant
Elle était revenue vers moi
M’annonçant qu’elle m’aimait
Mon cœur s’en tenait à merveille
Malgré qu’une personne nous séparait encore,
Je le savais
J’en étais sûr à présent
Et c’était ce qui comptait le plus.
Mais un deuxième problème se posait entre bous
On ne voulait faire souffrir personne
De notre amour
Et c’était pourtant ce qui se passait
J’ai déjà trop fait souffrir autour de moi
Et recommencer me ronge…
La porte s’ouvrit
Coupant le fil de mes pensées.

a ba enfin il lui a dit !!!

cest qui qui entre ????!!!

vite la suite please jaime tro ta fic !!

Chapitre 86 :

Je relevai la tête
Essuyant discrètement mes larmes
Gustav entra.

Gustav : J’arrive pas à le croire ! Toi ! Coralie§ La personne la plus sobre que j’ai connu jusqu’ici, c’est pris un cuite !

Ses hurlements
Donnèrent naissance
A de nouveaux maux de tête
Jusqu’ici estompés.
Ma tête retomba sur les oreillers.

Moi : Gustav ?
Gustav : Oui ?
Moi : Tu pourrais parler moins fort, s’il te plaît ?
Gustav : Ah, et Bill et Gladys s’embrassaient ! Ne sont-ils pas mignons !? Oups désolé…
Moi : Quoi !?
Gustav : JE DI-SAIS QUE Jé-TAIS Dé-SO-Lé !
Moi : Non, pas ça, avant, tu as dit quelque chose à propos de Bill.
Gustav : Non.
Moi : Gustav. Et d’ailleurs pourquoi tu m’en parles ? Tu sais très bien que je m’en fiche.
Gustav : C’est pour ça que tu es dans son lit ?
Moi : J’étais bourrée !
Gustav : Que tu portes ses vêtements ?
Moi : Ma robe pue l’alcool !
Gustav : Que tu lui as dit que tu l’aimais ?
Moi : …

J’avais ouvert la bouche
Pour répliquer encore une fois
Mais que pouvais-je dire ?

Gladys : Qui aime qui ?

Elle était appuyée d’un main
Au mur
Gustav entreprit une réponse
Mais je le regardais
De façon à ce qu’il change de réponse.

Gustav : … Moi ! Moi j’aime Evangeline !
Gladys : Contente pour toi, j’espère que c’est réciproque.
Gustav : Merci, moi aussi.
Gladys : Tu peux nous laisser, s’il te plaît, je dois parler à Coralie.
Gustav : Ouais, à plus Co’ !
Moi : Mm.

.Mes pensées. Ça va être ma fête.

Je confirmai avec un sourire minime
Gladys ferma la porte derrière lui
Puis se mit contre celle-ci.

quel c*n !!!!

une suite please !!!!!! je veux savoir ce quelle dit !!