Merci 3va
MDR
Là me dit pas que tu comprends pas pourquoi
Tu me fais trop rire, Hein?Chapitre 24 :Après la sortie de scène du groups
La salle se vida peu à peu
Quand mon portable sonna.
Un sms de Bill qui disait :
« Sortez par l’issue de secours un gars vous emmènera à nous. »
Je lui répondis « OK »
Et on suivit les indications
Le gars en question «était baraqué
Grand brun aux yeux verts
Et portait du noir uniquement
Il nous accompagna jusqu’au garçons
Installé dans une grande loge.
Nous : Salut !
Eux : Salut !
Georg : Alors vous avez aimés ?
Lily : Quelle question. Bien sûr c’était grandiose !
On s’installa dans des canapés ça donnait
Seb, Georg, Tom, Lily, Moi, Bill et Gus’
Bill prit rapidement son aise avec moi.
Et on grignota autour d’un verre.
Moi : au fait Lily, tu ne t’ai même pas servi de tes accessoires ?
Lily : Nan, je n’en ai pas eu l’occasion et c’est bien dommage. Elles étaient trop loin.
Tom : Quels accessoires ?
Lily vida son sac sur la table
Manquant de faire tomber quelques verres
A la vue de tout ça
Un mouvement de rire se fit.
Tom : Vous êtes fouillés normalement à l’entrée, non ?
Lily : ça ne t’est jamais arrivé de frauder ?
Tom : Si bien sûr. Et sur qui tu comptais utiliser tout ça ?
Lily : Les groupies j’ai assez d’expérience en la matière pour savoir de quoi j’avais besoin contre elles.
Bill : La violence ne résout rien.
Lily & moi : Mais ça défoule ! XD
Tom : Bill, c’est toi qui dit ça alors que l’autre fois tu as limite cassé le nez d’un gars qui te faisait ch*er.
Lily : C’est l’hôpital qui ce fout de la charité !
Moi : Nan pas l’hôpital s’il vous plaît ! : ]
La soirée fut branchée rires et délires
Mais malheureusement
Le moment de se quitter arriva.
Lily : Co’ et Bill, on vous attend en bas
Tom : Pourquoi ?
Lily : Tu connais le mot « intimité » ?
Tom : Pas vraiment.
Lily : Je vois ça, aller avance.
Et ils nous laissaient seuls
Je baillai
Quand Bill se retourna vers moi
Avec des yeux
Qui allaient apparemment
M’annoncer quelque chose d’important.
Moi : Oui ?
Bill : J’adore quand tes yeux brillent … Coralie à partir de ce soir et pendant 15 jours, on ne va plus pouvoir se voir parce que nous serons en Russie avec les gars puis en Angleterre.
Moi : Ah OK. Mais on s’appellera ?
Bill : Bien sûr ! Je ne peux pas me passer de toi, et en plus il y a Internet, les portables et si jamais je ne suis pas joignable je t’enverrais une lettre, c’est long je sais mais …
Moi : Ne t’en fais pas je ferais avec, il n’y a pas de soucis.
Il me prit dans ses bras
Je fermai les yeux
Avec l’appréhension
Que tout change encore
Mais en les rouvrant
J’étais toujours à ses côtés
Puis à l’embrasser
Un baiser qui n’en finissait pas
De plaisir
Jusqu’à ce que Gustav frappe et entre.
Gustav : Désolé mais on est déjà quinze minutes en retard sur le timing
Bill : Quinze minutes ce n’est rien.
Moi : Pas dans toutes les situations, mais peu importe vas-y.
Bill : D’accord, je t’aime.
Moi : Je le sais et moi aussi.
Il me sourit et parti
Me déposant un doux et léger
Dernier baiser
Gustav restait sur le pas de la porte
Alors que j’allais sortir
Il me bloqua le passage
En mettant son bras devant moi.
Moi : Oui ?
Gustav : Prends soin de toi …
Je baissai la tête
Avec l’envie folle de dire une bêtise
Je ne pus me retenir
Mais je la dis très bas
Moi : Garnier.Gustav : Quoi ? … Coralie je ne rigole pas.
Moi : Désolé.
Gustav : Promet le, stp.
Moi : Gus’ je … Tu n’as pas confiance en moi ?
Gustav : Si bien sûr, je te demande juste ça.
Moi : Si tu avais vraiment confiance en moi tu ne me le demanderais pas.
Je repoussai son bras
Et sortit d’un pas pressé
Arrivée dehors
J’entendis Gustav me courir après
Il me prit le poignet
Je me retournai brusquement
Avec un grand geste de la main
Pour ôter la sienne
Un bruit ce fit au loin
Dans les buissons
Gustav : Pourquoi est ce que tu le prends comme ça ?
Moi : C’est juste qui … je suis désolé mais je ne peux rien te promettre, le faire serait te mentir et je ne veux pas te mentir.
Gustav : OK mais …
Moi : Je ne suis pas sûr de tenir aussi longtemps, aussi loin de vous voilà pourquoi.
Gustav : Eh bien sache que si tu as besoin de moi un simple coup de fil suffit et je serais à ton écoute.
Moi : Oui mais pas tout le temps.
Gustav : C’est certain mais cela n’empêche rien.
Il me prit dans ses bras
J’avais envie de pleurer
Mais je me retins
Pas ce soir
Pas maintenant.
Je le laissai partir avec les autres
Le van s’éloigna
Puis disparu
Sébastien me ramena chez moi
Je m’écroulai sur mon lit
J’avais une peur de dormir
De rêver
De me souvenir à nouveau
Mais la fatigue fut plus forte
Et je tombai dans un profond sommeil.