[Fiction] Mourir un jour, Rennaître l'autre

mon dieu, peu-être que annie ne peut pas garder coralie, enfin j'espère que non.
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee (puisque tu en as plein)


j'ai posté en même temps que toi.
annie est super, je l'adore cette femme
suiteeeeeeeeee

Chapitre 11 :

Ce soir-là
Je ne me battis par contre le sommeil
J’y sombrai.
Le lendemain en me réveillant
Je m’empressai de me préparer
Annie me déposa chez les garçons
Avant qu’elle n’aille au bureau
De Mr Laurent.
Je montai les marches quatre à quatre
Je frappai vivement à la porte
Georg m’ouvrit.
J’entra sans qu’il ne m’y ait invité.

Georg ¤ parlant au vide que j’avais laissé ¤ Salut Coralie ! Vas-y entre !
Moi : T’es pas drôle ! Gustav est par là ?
Georg : Dans la cuisine.
Moi : Merci.

En entrant dans la cuisine
Gustav préparait à mange.
Il fut apparemment surpris de me voir.

Gustav : Euh coucou Coco ! Sa va ?
Moi : Salut, ouais il faut que je te parle.
Gustav : Quoi tu sais traverser les murs maintenant ? : p
Moi : Nan. Vous n’êtes pas drôle ce matin alors.

Je lui expliquai la situation
Le plus brièvement possible.

Gustav : Tu veux dire que tu deviendrais ma sœur ?
Moi : Adoptive oui. Alors heureux ?
Gustav : Heureux de chez heureux !

Encore un éclat de rire
Par rapport à une pub.
On se prit dans les bras
Puis je me suis dit
Pourquoi ne pas annoncer
La bonne nouvelle aux jumeaux.
Alors je marchai jusqu’à la porte
De chambre de Bill.
J’entendais parler
Sans pouvoir distinguer chaque mot
Ce qui ne donnait aucun sens
A ce que j’entendais.
Je posai mon dos contre le mur
Me laissant glisser
Jusqu’à me retrouver
Assise au sol.
Je me concentrai alors
Sur les pensées des deux personnes
Qui se trouvaient dans cette chambre.

Vus que l’on dit
Ce qu l’on pense
Je ne pouvais
Que bien les entendre.
Avec toute ma concentration
J’y parvins.
C’était un dialogue
Entre Bill et Tom.

_____________________

. Leurs pensées.

Tom : Bill, je te reconnais plus.
Bill : Tom, tu te répètes.
Tom : Tu as envoyé balader Coralie !

.Mes pensées. Oh, on parle de moi, encore plus intéressant ! Chut !

Bill : Nan, c’est elle qui est partie.
Tom : Mais c’est toi qui l’as accusé.
Bill : Ouais et je regrette.

.Mes pensées. C’est bon à savoir.

Tom : qu’est ce que tu attends pour le lui dire, la saint Glinglin !

.Mes pensées. L’humour n’est décidément pas au rendez-vous aujourd’hui !

Bill : Avant il faudrait que j’aie rompu avec Nina.
Tom : Alors fais-le.
Bill : Mais je ne peux pas.
Tom : Arrête avec ça, les « je ne peux pas », si on veut on peut !
Bill : Ce n’est pas ça.
Tom : Alors c’est quoi ?
Bill : Tom, j’ai fait quelque chose de mal.
Tom : Qui est ?
Bill : Le soir où j’ai rencontré Nina, j’ai…
Tom : Tu as ?
Bill : J’ai couché avec elle.
Tom : Et alors ?
Bill : Et alors je ne suis ni aussi insensible ni comme toi Tom !
Tom : Si c’est un crime de me ressembler alors beaucoup de beaux gosses iraient en tôle !

Je levai les yeux au ciel
Je sentis Bill faire la même chose.

Bill : Toi tu ne changes pas.
Tom : Et j’aurais bien aimé que ça ne t’arrive pas à toi.
Bill : Je me sentais obligé de sortir avec elle pour ne pas lui briser le cœur.
Tom : Tu n’étais en aucun cas obligé. Qu’est-ce que tu éprouves pour cette fille ?
Bill : De l’amitié sans plus.
Tom : Alors largue-là !
Bill : C’est plus facile à dire qu’à faire.
Tom : Mais il faut que tu te débarrasse de cette ventouse. Redeviens libre comme avant.
Bill : Ouais, je vais retrouver ma liberté d’ici peu.

.Mes pensées. J’imagine ces deux dernières paroles sortant de becs de deux moineaux XD.

Tom : Très bien, bon ce n’est pas tout mais j’ai faim moi.

_____________________

La poignée se baissa
Alors je me relevai
Et courais à la salle de bain
Puis je guettai le départ de Tom
Et sortis
En prenant bien le soin
De passer devant la chambre de Bill
Dont la porte était restée ouverte
Pour qu’il est une chance de me faire des excuses.

Bill : Coralie tu tombes bien.

Je souris intérieurement
Puis fis mine de ne pas savoir
De quoi il voulait parler.

Moi : Ah oui ?
Bill : Oui. Entre.

Il passa à côté de moi
Refermant la porte.
On s’assit sur son lit défais.

Bill : Je voudrais te demander pardon pour hier, ce n’est pas de ta faute tout ce qui m’arrive, ce changement soudain.
Moi : Je te pardonne, je vais mettre ça sous le compte de ma colère, laquelle je n’en sais rien mais on s’en fiche.

On se souriait.

Bill : Merci.
Moi : Mais de rien et tu ne sais pas quoi.
Bill : Nan mais tu vas me le dire.
Moi : Je vais sans doute devenir la sœur adoptive de Gustav.
Bill : C’est génial !
Moi : Je trouve aussi.

Tu le sauras par la suite
xD
Mais pas celle-là ^^

Chapitre 12 :

Nos yeux ne se lâchaient plus
Mais ils furent séparés
Contre leur gré
Par une sonnerie de portable
Bill décrocha.

Bill : Oui ? … Ah salut…
Moi : Je te laisse.
Bill : OK.

Je sortis de la chambre
J’avais été si bien
Durant quelques secondes
Si agréable
Que je me surprise
A ne plus penser qu’à lui,
Mon sauveur
Ce surnom me faisait sourire.
Je m’assis sur le canapé
A côté de Tom
Souriante.

Tom : Tu étais avec Bill ?
Moi : Oui.
Tom : Il t’a fait des excuses ?
Moi : Oui et je les ai accepté.
Tom : Et une chose de faite !
Moi : Et c’est quoi les autres ?
Tom : Il doit se séparer de Nina et la dernière je ne peux pas te le dire parce que je n’en suis moi-même pas sûr.
Moi : Dit toujours.
Tom : Hors de question.
Moi : Pourquoi ? C’est sur moi ?
Tom : Tu verras bien !
Moi : Aller !
Tom : Driiing !!! Oh c’est prêt !
Moi: Mais... Tom!

Il courut à la cuisine
Ce qui me fit bien rire
Encore plus quand il alla ouvrir
Toujours en courant à la Jack Sparrow
La porte d’entrée
Parce que l’on avait frappé.

Tom : Oh salut Nina. Biill ! C’est pour toi !
Bill : Nina tu peux toujours aller dans ma chambre je te rejoins dans deux secondes.
Nina ¤ le bis ouillant ¤ OK mon chou.

Avec Tom qui faisait
De gros « beurk ! » derrière
Cela faisait une scène comique.

Bill : Tom je vais le faire.
Tom : J’espère bien aller grouille avant qu’elle ne s’impatiente la miss.
Bill : Ouais.

Et il s’enferma avec Nina.
Je n’entendais pas leurs pensées
Enfin je ne voulais pas
Mais ma curiosité fut plus forte.

Pour être le plus proche d’eux
Et en même temps au calme
Je retournai à la salle de bain
Et me concentra de nouveau.
Ils avaient déjà bien entamé la conversation
Ou plutôt le sujet de leur séparation
Ce qui apparemment ne plaisait pas à Nina.

je vais faire comme coralie mais le truc c'est que dès que nina va sortir de la chambre est ben je l'attendrais bien gentiment.
suiteeeeeeeee
je regardes secret story mais en même temps je reste positionner devant la télé (oui j'ai un ordi et une télé dans ma chambre) alors que normalement je devrais faire ma chambre parce que je déménage à la fin du mois.
j'arête le blabla et ne dit qu'un seul mot.

SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Lol
Moi je n'ai que la télé
C'est déjà ça tu me diras
Mais je préfèrerais l'ordi
Bref
Oula Oula.

Chapitre 13 :

____________________________

.Leurs pensées.

Nina : Pourquoi tu veux ça ?! On s’aime Bill !
Bill : Nan Nina, toi tu m’aimes.
Nina : ça fait que depuis le début tu me mens ?
Bill : Je me mentais à moi-même. J’ai fait une erreur en couchant avec toi et je l’ai continué en sortant avec toi.
Nina : C’est à cause d’elle c’est ça. Je la déteste cette Coralie.

.Mes pensées. T’inquiètes c’est réciproque. ^^

Bill : ça n’a rien à voir et ne la mêle pas à nous. Je ne veux plus te revoir, jamais.
Nina : Qu’est-ce que je dois comprendre ?
Bill : Ce n’est pas bien compliqué, je te quitte, nous deux c’est fini.
Nina : Quelle délicatesse.
Bill : Mais tu as compris maintenant ?
Nina : Oui et je me casse !
Bill ¤ lui ouvrant la porte ¤ Je t’en prie.

____________________________

Nina : Elle est où la p*tasse !?

Je sortis de la salle de bain
Elle était rouge d’énervement
Et tremblante de colère.

Moi : Là.

Elle fit volte-face
Et se dirigea à grands pas
Vers moi
Je le sentais mal
Très mal
Surtout quand elle leva son poing
A la hauteur de mon visage.
Heureusement pour moi j’esquivai
La frappe qui aurait pu me coûter
Un énorme cocard sur la pommette droite.

Bill : Nina !!!
Moi : Je vais bien !
Nina : Pas pour longtemps.

Elle retenta le coup
Qui fut juste cette fois.

Moi : Tu ne veux pas faire comme toutes les filles qui se font larguer ?!
Nina : C'est-à-dire ?
Moi : Chialer ! A moins que tu ne sois pas une fille ?
Bill : Bon c’est bon ! Maintenant Nina tu sors.
Nina : De toutes manières je ne vois pas pourquoi je resterais.
Moi : Moi non plus. ^^

Et elle sortit
Pour de bon.

Tom : Youpi ! Et de deux sur trois !
Moi : C’est quoi le dernier ?

Manque de pot pour moi
On frappa à la porte
Tom accourut ouvrir.

Tom : Bonjour Annie ! Gus’ c’est pour toi !

Je regardai Gustav
Les yeux pleins d’espoir.

Moi : Alors le verdict ?
Annie : Je suis désolé Gustav mais…

c'est une blague qu'elle fait
sinon elle aurait appeler aussi coralie.

je voit déjà annie lui dire
"je suis désolé gustav mais tu as une nouvelle soeur".
tu vas dire que je suis chiante parce que j'esseille de deviné mais voilà quoi.


suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Mdr entre vous deux tiens pas
E pour la Miss qui pense beaucoup
Jai éclaté de rire
Prce que t'ai vraiment pas passé loin
Clui-là est court
Prodn Microscopique
Mais j'adore la réplique de Tom


Chapitre 14 :

Annie : Tu vas devoir supporter une deuxième sœur !
Gustav : Aucun problème.
Moi : Dons c’est sûr ?
Annie : Oui.
Tom : Attendez. Bill et Coralie sont réconciliés,, Bill a enfin larguer sa m*rde…
Bill : Très drôle Tom !
Tom : …Gus a une nouvelle petite sœur et on n’a pas encore fait péter le champagne ?! C’est quoi ce b*rdel ?!
Georg : Il n’a pas tort.
Gus : je vais en chercher.

On fêta ça.
J’avais du mal à y croire.

bin c'était quoi sa, encore encore encore encore
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite
la suite la suite la suite la suite la suite la suite

Lol
c'est mieux ça, nan?

Chapitre 15 :

En moins de six mois
J’avais retrouvé une famille
Des amis
Je n’étais plus seule.
J’étais aimé, apprécié
Pour ce que j’étais
Mais je n’étais pas comblée
Il me manquait quelque chose
Cette chose se trouvait sous mes yeux
Alors que je n’y pensais pas,
Elle vint à moi
Un beau jour.

Cela faisait déjà un an
Que j’avais trouvé Annie
Et Gustav.
Durant cette année
J’ai été au lycée
Améliorer mon allemand
Je me suis faite d’autres amis
Je suis bonne élève
Mes parents doivent être heureux
Et j’en suis fière.
Je me suis peu à peu
Rapprochée de Bill
Malgré l’emploi du temps
Surchargé qui occupait le groupe.

A présent je contrôle très bien
Mon empathie/télépathie
Mais à chaque fois
Que j’essaye avec Bill
Tout ce brouille
Dans ma tête, mon esprit
Comme s’il arrivait
A émettre des interférences.
C’est très frustrant
De ne plus connaître ses pensées.
Sinon Tom fait souvent allusion
A ce dernier problème
Qui apparemment
N’a toujours pas été réglé.

Aujourd’hui tout mon malheur passé
Est derrière moi
Je suis parfaitement heureuse
Et bien dans ma peau.
Malheureusement
Tout n’est pas si parfait que ça
En effet
Mon manque de départ
Est toujours présent
Il attend
Jour après jour
D’être comblé.

En ce moment
Je sors de cours
Accompagnée de plusieurs amis
Quand j’aperçois
Une voiture de sport noir
Avec de grande ligne rouge
Sur les côtés
Garée au bout de la rue
Appuyé contre celle-ci
Se trouve un jeune homme
Grand « brun »
Les cheveux au vent
Vêtu d’une veste en cuir noir
D’un jean tombant
Et de santiags
Je reconnus Bill
Je laissai mes amis
Pour le rejoindre.

Moi : C’est la classe !
Bill : Et ouais ! Tu montes ? Je t’emmène faire un tour.
Moi : OK.

Je m’assis sur le siège passager
On attacha nos ceintures
Le bruit du moteur
Etait puissant
J’adorais déjà
Cette super voiture.

Bill : C’était comment les cours ?
Moi : Ennuyeux à mourir, alors je ne me gène pas pour parler.
Bill : Moi je détestais ça à ton âge.
Moi : Bill, à mon âge t’y allait déjà presque plus.
Bill : Tu n’as pas tort.
Moi : Où est-ce que tu nous emmènes ?

Chapitre 16 :

Nous étions arrivés sur une route
Plutôt déserte
Au bout de celle-ci
Se trouvait un pont
De nombreux souvenirs me revinrent.

Bill : Tu te souviens ?
Moi : Un peu, un peu beaucoup même.

On descendit sur le bitume
Je m’avançai alors peu à peu
Vers le bord.

Bill : ça fait un an jour pour jour alors je me suis dit pourquoi ne pas revenir faire un tour, en plus la route a été déviée donc on ne risque pas d’être dérangé.
Moi : ça fait bizarre. Tant de choses ont changé depuis la dernière fois que je suis venue. Ça m’étonne que tu t’en sois rappelé.
Bill : Jamais je n’aurais plu oublier, oublier ça et toi.

Je m’étais retournée vers lui
Avec un regard interrogateur.
Puis je regardai de nouveau
Dans le vide
M’approchant de la rampe.

Bill : Si tu pouvais éviter de trop t’approcher du vide tu serais gentille.
Moi : Pourquoi je te fais peur ?
Bill : Un peu.

Je m’assis a cheval
Sur la rampe.

Moi : Et là ?
Bill : Coralie, s’il te plaît, tu prends des risques.
Moi : Et j’aime ça !

Je glissai jusqu’à un endroit
Où la rampe devenait un muret
Et monta dessus
Je marchais, sautais,
Ce qui ne rassurait pas du tout Bill.
Et me faisait rire.

Bill : Coralie si tu tombes, je n’irais pas te chercher cette fois !
Moi : Serais- ce des menaces ? Je ne te crois pas.
Bill : Si, si.

Je fis mine de glisser
Et il courra vers moi.

Moi : Tu tiens à moi plus que tu l=ne le dis à ce que je vois.
Bill : C’est possible.

Il me tendit les bras
Je posai mes mains
Sur ces épaules
Et lui les siennes sur mes hanches
Puis il me fit descendre.
Une fois mes pieds à terre
Il ne me lâcha pas
Et moi non plus.
Nos regards ne se quittaient plus.
Au bout de quelques minutes
J’étais gênée alors
Je baissai les yeux.

Moi : Je te faisais vraiment peur tout à l’heure ?
Bill : Oui, mais il y a une chose dont je n’ai pas peur.

J’eus encore ces yeux
Interrogateurs
Auxquels il répondit.

Bill : C’est de te dire je t’aime.
Moi : Bill, je …

Je secouais légèrement la tête
De gauche à droite
Ne sachant quoi dire

Bill : Ce n’est pas grave. Viens il faut rentrer.

Il s’éloigna.

Moi : Nan Bill attends !

Je devais le retenir
Ce fut en moi
Un grand mélange de sentiments
Si fort pour lui.

Moi : Bill, jusqu’ici je n’en ‘étais pas sûr mais maintenant que tu me le dis … moi aussi je t’aime !

Il s’était arrêté
Et me regardais
Souriant
Je marchai à lui.

Bill : C’est vrai ?
Moi : Si je te le dis.

Il dégagea les quelques mèches de cheveux
Qui survolaient mon visage
Le prit dans ses mains
Je posai les miennes sur les siennes
Et il m’embrassa.
Un baiser unique
Totalement magique.
Puis on se détacha.

Moi : Wowooo…j’aime.
Bill : ^^ Moi c’est toi que j’aime mon ange.

billou tu l'emmène où coco.
n'empêche heureusement que tu m'a dit que tu avais plein de chapitres parce que j'ai le doute comme même qu'il ai un accident et que bill reste en vie mais pas coco.

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Spoiler:

tu poste tout le temps en même temps que moi, j'en peu plus
c'est bizarre mais chaque fic ou il y a une histoire avec bill, il dit tout le temps "je t'aime mon ange"

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Bravo !!! Lol
Ce qui lui arrive par la suite n'est pas mieux

Chapitre 17 :


Le ciel jusqu’ici dégagé
Ce couvrait peu à peu
Par de gros nuages gris
Le vent se levait.
Avec la chaleur
Cela donnait un temps orageux.
Nous regardions se changement
Quand un éclair apparut
Qui fut suivit du tonnerre
La foudre frappa à l’autre bout du pont
Ce qui nous secouâmes [Vive le passé simple ! x)] légèrement.
Je me blottis contre Bill
Qui me serra dans ses bras.

Bill : Ne t’en fais pas, la foudre ne frappe jamais au même endroit.

Juste après ses paroles
La foudre se dressa
De nouveau devant nous
Je sursautai.

Moi : Tu disais ?
Bill : OK, ce n’est pas normal.

De petites gouttes
Tombèrent sur nos visages
Puis se transformèrent
En une pluie torrentiel.

Bill : Remontes dans la voiture.

J’y allais
Quand je m’aperçus
Qu’il ne me suivait pas
Je m’arrêtai.

Moi : Bill ! Viens !

Je le distinguais à peine
Qui s’approchait de l’endroit
Où avait frappé la foudre
A petit pas.
Puis il se retourna et courut
Dans ma direction.
Un grand bruit retentit derrière lui
Quand je vis des blocs de béton
Sombrer dans le fleuve.
Je n’eus pas le temps de réagir
Que Bill m’avait déjà attrapé la main
Et l’on courrait jusqu’à la voiture.
Des fissures se formaient dans le béton.
Tout s’écroulait après chacun de nos pas
Arrivés à bout de souffle
Sur la terre ferme
On regarda les dégâts.
Il ne restait plus rien
Le pont avait sombré, disparu
Sous nos yeux
Les débris s’écoulaient dans l’eau.

Bill : Tu n’as rien.
Moi : Nan et toi ?
Bill : Sa va.

Je le pris dans mes bras
Et fermai les yeux
Quand je les rouvris
Je n’étais plus du tout dehors
Là-bas
Mais à l’intérieur d’une chambre
Une chambre d’hôpital.
Dont la lumière des néons m’éblouissait.

Moi : Qu’est-ce que je fais ici ?

Je sentis la main de quelqu’un
Me prendre la mienne
Ce quelqu’un c’était Bill.

j'ai horreur des ponts parce que j'ai toujours eu peur que le pont s'effondre, je vous dit à la fin c'est soulant mais voilà suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

non parce que c'est comme une drogue
on peut plus s'en passé.
secret story, c'est terminé donc maintenant c'est les simpsons.

mais je reste là

la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Han !
tu pars
bouh
je poste quand même pour
Johannes

Chapitre 18 :

Bill : Tu ne te souviens pas ?
Moi : Non.
Bill : Tu t’es évanouie dans mes bras après l’effondrement alors j’ai appelé les pompiers qui t’ont conduit jusqu’ici. On t’a fait des examens, des prises de sangs …
Moi : D’accord et qu’est-ce que j’ai ?

A ce moment
Un médecin entra.

Médecin : C’est une bonne question. C’est pourquoi je vais vous emmener faire d’autres examens plus approfondis.

Je baissai les yeux
Nullement rassurée.

Bill : Ne t’inquiètes pas tout ce passera bien n’est-ce pas monsieur ?
Médecin : Je ne vois pas pourquoi cela ne se passerait pas bien. Je vais prévenir les infirmiers qui vont bouger votre lit.

Il sortit
Nous laissant.

Moi : Bill, je ne le sens pas ce type.
Bill : Tu as entendue ses pensées ?
Moi : Nan rien mais …
Bill : C’est qu’il n’y a rien, je serais derrière une vitre comme les autres fois à veiller sur toi.

Il m’embrassa
Et l’on m’embarqua.
Arrivée dans l’ascenseur
On bloqua le passage à Bill
Qui se trouvait encore dans les couloirs.
Il ne m’attend pas à temps
Les portes se refermèrent.

Moi : Bill !!!
Infirmier : Dit au revoir à ton chéri ma belle parce que tu n’es pas prête de le revoir.

Tous rigolèrent
Alors que le stress, la peur
L’appréhension s’emparait de moi.
Le numéro des étages défilait
Tout devint noir autour
Seul ces lumières brillaient
Mais devinrent floues
Puis disparaissent.

nooooooooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
jjjjjeeeeeeeeeeeeeee veuuxxxxxxxxxxxxxx passssssssssssssssssssssssssssssss






suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

T'as du Niquer les touches
De ton clavier Mdr

Chapitre 19 :

Quand je crus me réveiller
Deux grandes et un plus petites silhouettes
Se dressaient devant mon lit.
En la plus petite je reconnus Kylian
Qui sauta sur mon lit
Puis sur moi je n’y croyais pas.

Kylian : Tu m’as drôlement manqué Cora.
Moi : Toi aussi Kyli. Maman, papa ?
Parents : Oui ?
Moi : Où suis-je pour que vous soyez avec moi ?
Maman : Tu es dans l’impasse entre la vie et la mort. Tu dois faire un choix.
Papa : Le choix entre nous ou eux.

Des images apparaissent
Dans un vide antérieur
Elles montraient Bill, Gustav et Annie
Avec la police à me chercher.

Moi : Pourquoi me recherchent-ils ?
Maman : Tu te souviens des infirmiers et bien ils t’ont emmené dans un laboratoire et ils ont cherché à comprendre et à tu substituer ton empathie/ télépathie sous l’ordre de Mr Laurent.
Moi : Oui je me souviens il ne voulait pas que je reste avec Annie l’an dernier.
Papa : Ces expériences ont mal tourné et tu es sur une table d’opération entre la vie et la mort d’où le choix que l’on t’offre.
Maman : Nous te souhaitons de faire le bon, pour toi.
Kylian : Je ne veux plus te quitter !

Il me serra plus fort encore.

Moi : Mais je ne peux pas choisir entre mon ancienne famille et ma nouvelle.

Ils commençaient
A disparaître de ma vue.

Maman : C’est pourtant ce que tu dois faire.
Papa : Nous t’aimons et t’aimerons toujours.
Moi : Moi aussi mais ne partez pas ! Attendez !

Ils s’étaient évaporés
Dans un mur.
Une voix fit apparition
En même temps
Que deux grands cercles
L’un avec mon passé
L’autre avec le présent.

Voix : Tu as moins d’un heure pour te décider après ça la mort choisira pour toi, il n’y aura aucune échappatoire ce sera la fin, ta fin. Réfléchis bien, ne penses pas qu’à toi mais aussi aux autres, bonne chance Coralie.

J’avais tant espéré
Dans le passé
Pouvoir remonter le temps
Pour revenir à l’époque
Où je vivais en France
Où tout mes problèmes d’adolescente
Avant si énormes
Me paraissaient maintenant
Si minimes.
Des larmes perlaient sur mes joues
Alors que je pesais le pour et le contre
Comme je l’avais toujours fait
Pour les grandes décisions
Ce qui jusqu’ici
Avait plutôt bien marché.
C’était très serré
Et difficile à faire.
Mais on m’a dit un jour :
« Ne regarde plus derrière toi
Sèche tes larmes
Et avance. »
C’est ce que je fis
Je me levai de mon lit
Essuya mes larmes
D’un revers de main tremblant.
J’avançai peu à peu.

Voix : Tu as fais ton choix ?
Moi : Oui.
Voix : Très bien alors tu vas t’avancer vers le cercle choisi et le traverser en passant dedans.
Moi : OK.

J’avançais lentement
Mais sûrement.

Voix : Encore … un peu plus … stop, tu es sûr de toi ?
Moi : … Oui.
Voix : Alors vas-y.

Je passai dans le cercle
J’avais l’impression de tomber
Dans le vide le plus total
Dont on ne voyais pas le bout
Puis une grande lumière se fit
M’éblouissant.